Tous les partis politiques présents doivent comprendre que l’agression verbale qu’ils semblent vouloir utiliser pour déstabiliser la CAQ, présente aux urnes depuis près de deux ans, est une arme qui pourrait se retourner contre eux. Quant au patron de la CAQ, il doit lutter contre la tentation de jouer avec les mots, trop souvent piégés pour lui. Il a aussi l’appui des Québécois parce qu’il s’exprime comme eux. Son vocabulaire et sa syntaxe ne se comparent pas à ceux des grandes tribunes du passé, les Lesage, Parizeau, Bouchard, Bourgault et Landry. Cela dit, entendre François Legault qualifier le chef du PLQ de « la dame » n’offensera pas la grande majorité des Québécois, pour ou contre son parti.
Écoutez l’éditorial de Denise Bombardier sur l’émission de Richard Martineau en direct tous les jours à 8h. via QUB Radio :
Déraper Mais cette campagne risque de dérailler, car les partis d’opposition savent qu’ils n’ont aucune chance d’ébranler la CAQ. Autrement dit, ils ont tout à perdre, même ce qu’ils ont obtenu aux dernières élections. Il suffit de lire toute l’actualité qui nous trouble par sa violence pour comprendre le cadre psychologique actuel dans lequel se retrouvent les Québécois. La pandémie nous a tous plongés dans l’anxiété, la colère, la frustration et le découragement. L’électorat est dans une société qu’il ne reconnaît plus. Aux problèmes économiques s’ajoute la déconstruction de nos institutions sociales, éducatives et médicales. La CAQ a géré dans l’inconnu, dans le chuchotement, et les partis d’opposition ont tenté de jouer un autre rôle que celui de spectateurs. Ils n’ont pas eu la tâche facile. Ils devaient appuyer le gouvernement caquiste. PLQ, QS, PQ et PCQ sont dans une position enviable, car à l’exception des plus jeunes, ils ont tous subi l’attraction de la force. Faire de la politique sans possibilité réelle d’accéder au pouvoir n’est tolérable que pour des idéologues. Pragmatisme Cependant, la CAQ fonctionne avec le pragmatisme incarné par François Legault. La fête fait partie de la réalité. Ses membres et sympathisants, que les partis d’opposition insultent en les accusant constamment de trahison, d’opportunisme et de cynisme, sont à l’image de la majorité des Québécois. Après l’échec de deux référendums et donc l’effondrement du PQ depuis 1995, les battants dominent notre respect. Mais ils ne peuvent déclarer une guerre ouverte à la CAQ, devenue le point de ralliement des nationalistes francophones. Comment ne pas écouter la volonté populaire exprimée dans les intentions électorales ? Dans une démocratie, les partis d’extrême gauche et d’extrême droite n’ont absolument aucune chance d’accéder au pouvoir. Cependant, ils contribuent par leur vision politique au bon fonctionnement de la démocratie. Leur présence à l’Assemblée nationale est nécessaire, voire indispensable. Forcément, les soirées d’aujourd’hui comptent un certain nombre de désespérés, mais ce n’est pas une excuse pour créer un climat qui empoisonnerait la symbiose collective. La démocratie par définition comprend tous les partis d’opposition, à condition qu’ils se soumettent à la volonté populaire exprimée par tous les électeurs.
title: “La Campagne Des D Sesp R S La Gazette De Montr Al Klmat” ShowToc: true date: “2022-11-12” author: “Angela Bratton”
Tous les partis politiques présents doivent comprendre que l’agression verbale qu’ils semblent vouloir utiliser pour déstabiliser la CAQ, présente aux urnes depuis près de deux ans, est une arme qui pourrait se retourner contre eux. Quant au patron de la CAQ, il doit lutter contre la tentation de jouer avec les mots, trop souvent piégés pour lui. Il a aussi l’appui des Québécois parce qu’il s’exprime comme eux. Son vocabulaire et sa syntaxe ne se comparent pas à ceux des grandes tribunes du passé, les Lesage, Parizeau, Bouchard, Bourgault et Landry. Cela dit, entendre François Legault qualifier le chef du PLQ de « la dame » n’offensera pas la grande majorité des Québécois, pour ou contre son parti.
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Déraper Mais cette campagne risque de dérailler, car les partis d’opposition savent qu’ils n’ont aucune chance d’ébranler la CAQ. Autrement dit, ils ont tout à perdre, même ce qu’ils ont obtenu aux dernières élections. Il suffit de lire toute l’actualité qui nous trouble par sa violence pour comprendre le cadre psychologique actuel dans lequel se retrouvent les Québécois. La pandémie nous a tous plongés dans l’anxiété, la colère, la frustration et le découragement. L’électorat est dans une société qu’il ne reconnaît plus. Aux problèmes économiques s’ajoute la déconstruction de nos institutions sociales, éducatives et médicales. La CAQ a géré dans l’inconnu, dans le chuchotement, et les partis d’opposition ont tenté de jouer un autre rôle que celui de spectateurs. Ils n’ont pas eu la tâche facile. Ils devaient appuyer le gouvernement caquiste. PLQ, QS, PQ et PCQ sont dans une position enviable, car à l’exception des plus jeunes, ils ont tous subi l’attraction de la force. Faire de la politique sans possibilité réelle d’accéder au pouvoir n’est tolérable que pour des idéologues. Pragmatisme Cependant, la CAQ fonctionne avec le pragmatisme incarné par François Legault. La fête fait partie de la réalité. Ses membres et sympathisants, que les partis d’opposition insultent en les accusant constamment de trahison, d’opportunisme et de cynisme, sont à l’image de la majorité des Québécois. Après l’échec de deux référendums et donc l’effondrement du PQ depuis 1995, les battants dominent notre respect. Mais ils ne peuvent déclarer une guerre ouverte à la CAQ, devenue le point de ralliement des nationalistes francophones. Comment ne pas écouter la volonté populaire exprimée dans les intentions électorales ? Dans une démocratie, les partis d’extrême gauche et d’extrême droite n’ont absolument aucune chance d’accéder au pouvoir. Cependant, ils contribuent par leur vision politique au bon fonctionnement de la démocratie. Leur présence à l’Assemblée nationale est nécessaire, voire indispensable. Forcément, les soirées d’aujourd’hui comptent un certain nombre de désespérés, mais ce n’est pas une excuse pour créer un climat qui empoisonnerait la symbiose collective. La démocratie par définition comprend tous les partis d’opposition, à condition qu’ils se soumettent à la volonté populaire exprimée par tous les électeurs.
title: “La Campagne Des D Sesp R S La Gazette De Montr Al Klmat” ShowToc: true date: “2022-11-08” author: “Dustin Hunter”
Tous les partis politiques présents doivent comprendre que l’agression verbale qu’ils semblent vouloir utiliser pour déstabiliser la CAQ, présente aux urnes depuis près de deux ans, est une arme qui pourrait se retourner contre eux. Quant au patron de la CAQ, il doit lutter contre la tentation de jouer avec les mots, trop souvent piégés pour lui. Il a aussi l’appui des Québécois parce qu’il s’exprime comme eux. Son vocabulaire et sa syntaxe ne se comparent pas à ceux des grandes tribunes du passé, les Lesage, Parizeau, Bouchard, Bourgault et Landry. Cela dit, entendre François Legault qualifier le chef du PLQ de « la dame » n’offensera pas la grande majorité des Québécois, pour ou contre son parti.
Écoutez l’éditorial de Denise Bombardier sur l’émission de Richard Martineau en direct tous les jours à 8h. via QUB Radio :
Déraper Mais cette campagne risque de dérailler, car les partis d’opposition savent qu’ils n’ont aucune chance d’ébranler la CAQ. Autrement dit, ils ont tout à perdre, même ce qu’ils ont obtenu aux dernières élections. Il suffit de lire toute l’actualité qui nous trouble par sa violence pour comprendre le cadre psychologique actuel dans lequel se retrouvent les Québécois. La pandémie nous a tous plongés dans l’anxiété, la colère, la frustration et le découragement. L’électorat est dans une société qu’il ne reconnaît plus. Aux problèmes économiques s’ajoute la déconstruction de nos institutions sociales, éducatives et médicales. La CAQ a géré dans l’inconnu, dans le chuchotement, et les partis d’opposition ont tenté de jouer un autre rôle que celui de spectateurs. Ils n’ont pas eu la tâche facile. Ils devaient appuyer le gouvernement caquiste. PLQ, QS, PQ et PCQ sont dans une position enviable, car à l’exception des plus jeunes, ils ont tous subi l’attraction de la force. Faire de la politique sans possibilité réelle d’accéder au pouvoir n’est tolérable que pour des idéologues. Pragmatisme Cependant, la CAQ fonctionne avec le pragmatisme incarné par François Legault. La fête fait partie de la réalité. Ses membres et sympathisants, que les partis d’opposition insultent en les accusant constamment de trahison, d’opportunisme et de cynisme, sont à l’image de la majorité des Québécois. Après l’échec de deux référendums et donc l’effondrement du PQ depuis 1995, les battants dominent notre respect. Mais ils ne peuvent déclarer une guerre ouverte à la CAQ, devenue le point de ralliement des nationalistes francophones. Comment ne pas écouter la volonté populaire exprimée dans les intentions électorales ? Dans une démocratie, les partis d’extrême gauche et d’extrême droite n’ont absolument aucune chance d’accéder au pouvoir. Cependant, ils contribuent par leur vision politique au bon fonctionnement de la démocratie. Leur présence à l’Assemblée nationale est nécessaire, voire indispensable. Forcément, les soirées d’aujourd’hui comptent un certain nombre de désespérés, mais ce n’est pas une excuse pour créer un climat qui empoisonnerait la symbiose collective. La démocratie par définition comprend tous les partis d’opposition, à condition qu’ils se soumettent à la volonté populaire exprimée par tous les électeurs.
title: “La Campagne Des D Sesp R S La Gazette De Montr Al Klmat” ShowToc: true date: “2022-11-07” author: “Verline Fischer”
Tous les partis politiques présents doivent comprendre que l’agression verbale qu’ils semblent vouloir utiliser pour déstabiliser la CAQ, présente aux urnes depuis près de deux ans, est une arme qui pourrait se retourner contre eux. Quant au patron de la CAQ, il doit lutter contre la tentation de jouer avec les mots, trop souvent piégés pour lui. Il a aussi l’appui des Québécois parce qu’il s’exprime comme eux. Son vocabulaire et sa syntaxe ne se comparent pas à ceux des grandes tribunes du passé, les Lesage, Parizeau, Bouchard, Bourgault et Landry. Cela dit, entendre François Legault qualifier le chef du PLQ de « la dame » n’offensera pas la grande majorité des Québécois, pour ou contre son parti.
Écoutez l’éditorial de Denise Bombardier sur l’émission de Richard Martineau en direct tous les jours à 8h. via QUB Radio :
Déraper Mais cette campagne risque de dérailler, car les partis d’opposition savent qu’ils n’ont aucune chance d’ébranler la CAQ. Autrement dit, ils ont tout à perdre, même ce qu’ils ont obtenu aux dernières élections. Il suffit de lire toute l’actualité qui nous trouble par sa violence pour comprendre le cadre psychologique actuel dans lequel se retrouvent les Québécois. La pandémie nous a tous plongés dans l’anxiété, la colère, la frustration et le découragement. L’électorat est dans une société qu’il ne reconnaît plus. Aux problèmes économiques s’ajoute la déconstruction de nos institutions sociales, éducatives et médicales. La CAQ a géré dans l’inconnu, dans le chuchotement, et les partis d’opposition ont tenté de jouer un autre rôle que celui de spectateurs. Ils n’ont pas eu la tâche facile. Ils devaient appuyer le gouvernement caquiste. PLQ, QS, PQ et PCQ sont dans une position enviable, car à l’exception des plus jeunes, ils ont tous subi l’attraction de la force. Faire de la politique sans possibilité réelle d’accéder au pouvoir n’est tolérable que pour des idéologues. Pragmatisme Cependant, la CAQ fonctionne avec le pragmatisme incarné par François Legault. La fête fait partie de la réalité. Ses membres et sympathisants, que les partis d’opposition insultent en les accusant constamment de trahison, d’opportunisme et de cynisme, sont à l’image de la majorité des Québécois. Après l’échec de deux référendums et donc l’effondrement du PQ depuis 1995, les battants dominent notre respect. Mais ils ne peuvent déclarer une guerre ouverte à la CAQ, devenue le point de ralliement des nationalistes francophones. Comment ne pas écouter la volonté populaire exprimée dans les intentions électorales ? Dans une démocratie, les partis d’extrême gauche et d’extrême droite n’ont absolument aucune chance d’accéder au pouvoir. Cependant, ils contribuent par leur vision politique au bon fonctionnement de la démocratie. Leur présence à l’Assemblée nationale est nécessaire, voire indispensable. Forcément, les soirées d’aujourd’hui comptent un certain nombre de désespérés, mais ce n’est pas une excuse pour créer un climat qui empoisonnerait la symbiose collective. La démocratie par définition comprend tous les partis d’opposition, à condition qu’ils se soumettent à la volonté populaire exprimée par tous les électeurs.
title: “La Campagne Des D Sesp R S La Gazette De Montr Al Klmat” ShowToc: true date: “2022-11-12” author: “Michelle Barajas”
Tous les partis politiques présents doivent comprendre que l’agression verbale qu’ils semblent vouloir utiliser pour déstabiliser la CAQ, présente aux urnes depuis près de deux ans, est une arme qui pourrait se retourner contre eux. Quant au patron de la CAQ, il doit lutter contre la tentation de jouer avec les mots, trop souvent piégés pour lui. Il a aussi l’appui des Québécois parce qu’il s’exprime comme eux. Son vocabulaire et sa syntaxe ne se comparent pas à ceux des grandes tribunes du passé, les Lesage, Parizeau, Bouchard, Bourgault et Landry. Cela dit, entendre François Legault qualifier le chef du PLQ de « la dame » n’offensera pas la grande majorité des Québécois, pour ou contre son parti.
Écoutez l’éditorial de Denise Bombardier sur l’émission de Richard Martineau en direct tous les jours à 8h. via QUB Radio :
Déraper Mais cette campagne risque de dérailler, car les partis d’opposition savent qu’ils n’ont aucune chance d’ébranler la CAQ. Autrement dit, ils ont tout à perdre, même ce qu’ils ont obtenu aux dernières élections. Il suffit de lire toute l’actualité qui nous trouble par sa violence pour comprendre le cadre psychologique actuel dans lequel se retrouvent les Québécois. La pandémie nous a tous plongés dans l’anxiété, la colère, la frustration et le découragement. L’électorat est dans une société qu’il ne reconnaît plus. Aux problèmes économiques s’ajoute la déconstruction de nos institutions sociales, éducatives et médicales. La CAQ a géré dans l’inconnu, dans le chuchotement, et les partis d’opposition ont tenté de jouer un autre rôle que celui de spectateurs. Ils n’ont pas eu la tâche facile. Ils devaient appuyer le gouvernement caquiste. PLQ, QS, PQ et PCQ sont dans une position enviable, car à l’exception des plus jeunes, ils ont tous subi l’attraction de la force. Faire de la politique sans possibilité réelle d’accéder au pouvoir n’est tolérable que pour des idéologues. Pragmatisme Cependant, la CAQ fonctionne avec le pragmatisme incarné par François Legault. La fête fait partie de la réalité. Ses membres et sympathisants, que les partis d’opposition insultent en les accusant constamment de trahison, d’opportunisme et de cynisme, sont à l’image de la majorité des Québécois. Après l’échec de deux référendums et donc l’effondrement du PQ depuis 1995, les battants dominent notre respect. Mais ils ne peuvent déclarer une guerre ouverte à la CAQ, devenue le point de ralliement des nationalistes francophones. Comment ne pas écouter la volonté populaire exprimée dans les intentions électorales ? Dans une démocratie, les partis d’extrême gauche et d’extrême droite n’ont absolument aucune chance d’accéder au pouvoir. Cependant, ils contribuent par leur vision politique au bon fonctionnement de la démocratie. Leur présence à l’Assemblée nationale est nécessaire, voire indispensable. Forcément, les soirées d’aujourd’hui comptent un certain nombre de désespérés, mais ce n’est pas une excuse pour créer un climat qui empoisonnerait la symbiose collective. La démocratie par définition comprend tous les partis d’opposition, à condition qu’ils se soumettent à la volonté populaire exprimée par tous les électeurs.