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Le chef libéral devait visiter les Jardins communautaires de Montmagny. Les plans ont rapidement changé mardi matin après l’annonce de l’allocation aux personnes âgées de 2 000 $.
En raison des risques d’orages, l’équipe de Dominique Anglade a informé les journalistes suivant la caravane du chef que le départ pour Montagny était reporté.
Une autre activité devait avoir lieu en après-midi à Sainte-Foy, comté de Jean-Talon, afin de désamorcer la situation. Enfin rien. Le bus des médias est resté stationné devant l’Assemblée nationale pendant près de 4 heures. Les journalistes pourraient également travailler depuis leur propre bureau.
Ainsi, la troisième journée de la campagne libérale se résumera à une publicité recyclée tôt le matin (voir ci-dessous) et à un rassemblement en soirée à Montmagny. À l’exception d’un bref instant dans la circonscription montréalaise de Lafontaine en début de campagne, la caravane libérale a fait sa tournée dans la région de la capitale nationale, où les derniers sondages la situent à seulement 6 %.
Pour ne rien arranger, en route vers le rassemblement militaire de Montmagny en fin de journée, le car des médias qui suivait la caravane libérale a connu des problèmes mécaniques et a dû s’arrêter quelques minutes sur l’autoroute 20.
Une fois dans le rassemblement, dans la circonscription de Côte-du-Sud, une trentaine de personnes s’y sont rassemblées. On pourrait presque entendre une mouche tomber là-bas.
Publicité recyclée
Comme François Legault, la libérale Dominique Anglade a voulu profiter de cette journée pour tenter de convaincre les personnes âgées de voter en faveur de son éducation.
Mme Anglade espérait aussi relancer sa campagne dans la région de Québec.
Pourtant, l’engagement présenté mardi matin est connu depuis un certain temps. En novembre 2021, Mme Anglade a dévoilé son projet d’Allocation aux aînés non imposable de 2 000 $, qui permettra aux personnes âgées de 70 ans et plus de faire face à la hausse du coût de la vie et d’adapter leur domicile pour y recevoir des soins. Près d’un an plus tard, elle réitère sa promesse.
peu de candidats
Cette annonce a été faite au lendemain d’une journée difficile dans la capitale nationale. Le parti peine à recruter des candidats à travers le Québec, ce qui irrite le chef qui est obligé de répondre à de nombreuses questions sur ce dossier à chaque crise de presse.
Mardi encore, l’absence de candidat dans plusieurs circonscriptions a éclipsé son annonce quotidienne pour tenter de renverser la vapeur.
Lundi, deux personnes (Vanier Les-Rivières et Richmond) ont retiré leur candidature, et Mme Anglade a été forcée de se séparer de sa directrice de recherche, Julie White, afin que cette dernière puisse jouer le rôle de candidate dans le comté de Jean-Talon.
« Il ne s’agit pas d’une candidature spontanée. C’était quelque chose qui était prévu. Ma candidature devait être annoncée plus tôt, mais il y avait des problèmes de COVID dans le bus, nous nous sommes donc arrangés pour quitter la campagne puis entrer dans la course », a déclaré Mme White. « Ma photo a été prise et les signes viendront rapidement. Je serai au sol cet après-midi à Jean-Talon.
Le groupe libéral n’est pas encore complet. Actuellement, 109 circonscriptions sur 125 ont un candidat officiel.
“Je suis sûr que j’aurai 125 candidats, sans hésiter”, s’est défendu Dominique Anglade, réitérant que l’équipe sera au complet “bientôt”.
Le militant du PLQ et ancien candidat Ghyslain Vaillancourt estime que son parti a du mal à recruter des vedettes et des candidats parce que le parti n’est pas au pouvoir.
« On dit toujours que le parti au pouvoir est toujours plus facile à recruter. Et le Parti libéral n’est pas au pouvoir”, a-t-il dit, présent lors de l’annonce du matin. Il soutient que le PLQ fait quand même « du bon travail ».
Déclarations controversées
De plus, certains candidats n’ont pas tardé à embarrasser le chef en début de campagne pour des propos sur le déclin de la langue française.
Le candidat de Jean-Lesage au Québec, Charles Robert, a déclaré lundi que la langue parlée à la maison n’est “pas un bon indicateur” du déclin du français.
La veille, l’ancien procureur fédéral et candidat du PLQ en Acadie, André A. Morin, avait affirmé que le déclin du français n’était pas préoccupant car il y a suffisamment de mesures au Québec pour assurer sa survie.
Puis mardi, le candidat libéral dans Marguerite-Bourgeoys, Fred Beauchemin, a comparé la gestion par décret du gouvernement de François Legault pendant la pandémie à la position de Donald Trump.
La chef libérale n’est cependant pas allée aussi loin que son candidat. Il a fait valoir qu’”avec un gouvernement dirigé par décret” pendant la pandémie et “17 milliards de dollars d’attributions de contrats sans appel d’offres”, il y a “beaucoup de questions qui se posent”.
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title: “Qu Bec 2022 Campagne Lib Rale Au Point Mort Klmat” ShowToc: true date: “2022-11-07” author: “Clara Moore”
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Le chef libéral devait visiter les Jardins communautaires de Montmagny. Les plans ont rapidement changé mardi matin après l’annonce de l’allocation aux personnes âgées de 2 000 $.
En raison des risques d’orages, l’équipe de Dominique Anglade a informé les journalistes suivant la caravane du chef que le départ pour Montagny était reporté.
Une autre activité devait avoir lieu en après-midi à Sainte-Foy, comté de Jean-Talon, afin de désamorcer la situation. Enfin rien. Le bus des médias est resté stationné devant l’Assemblée nationale pendant près de 4 heures. Les journalistes pourraient également travailler depuis leur propre bureau.
Ainsi, la troisième journée de la campagne libérale se résumera à une publicité recyclée tôt le matin (voir ci-dessous) et à un rassemblement en soirée à Montmagny. À l’exception d’un bref instant dans la circonscription montréalaise de Lafontaine en début de campagne, la caravane libérale a fait sa tournée dans la région de la capitale nationale, où les derniers sondages la situent à seulement 6 %.
Pour ne rien arranger, en route vers le rassemblement militaire de Montmagny en fin de journée, le car des médias qui suivait la caravane libérale a connu des problèmes mécaniques et a dû s’arrêter quelques minutes sur l’autoroute 20.
Une fois dans le rassemblement, dans la circonscription de Côte-du-Sud, une trentaine de personnes s’y sont rassemblées. On pourrait presque entendre une mouche tomber là-bas.
Publicité recyclée
Comme François Legault, la libérale Dominique Anglade a voulu profiter de cette journée pour tenter de convaincre les personnes âgées de voter en faveur de son éducation.
Mme Anglade espérait aussi relancer sa campagne dans la région de Québec.
Pourtant, l’engagement présenté mardi matin est connu depuis un certain temps. En novembre 2021, Mme Anglade a dévoilé son projet d’Allocation aux aînés non imposable de 2 000 $, qui permettra aux personnes âgées de 70 ans et plus de faire face à la hausse du coût de la vie et d’adapter leur domicile pour y recevoir des soins. Près d’un an plus tard, elle réitère sa promesse.
peu de candidats
Cette annonce a été faite au lendemain d’une journée difficile dans la capitale nationale. Le parti peine à recruter des candidats à travers le Québec, ce qui irrite le chef qui est obligé de répondre à de nombreuses questions sur ce dossier à chaque crise de presse.
Mardi encore, l’absence de candidat dans plusieurs circonscriptions a éclipsé son annonce quotidienne pour tenter de renverser la vapeur.
Lundi, deux personnes (Vanier Les-Rivières et Richmond) ont retiré leur candidature, et Mme Anglade a été forcée de se séparer de sa directrice de recherche, Julie White, afin que cette dernière puisse jouer le rôle de candidate dans le comté de Jean-Talon.
« Il ne s’agit pas d’une candidature spontanée. C’était quelque chose qui était prévu. Ma candidature devait être annoncée plus tôt, mais il y avait des problèmes de COVID dans le bus, nous nous sommes donc arrangés pour quitter la campagne puis entrer dans la course », a déclaré Mme White. « Ma photo a été prise et les signes viendront rapidement. Je serai au sol cet après-midi à Jean-Talon.
Le groupe libéral n’est pas encore complet. Actuellement, 109 circonscriptions sur 125 ont un candidat officiel.
“Je suis sûr que j’aurai 125 candidats, sans hésiter”, s’est défendu Dominique Anglade, réitérant que l’équipe sera au complet “bientôt”.
Le militant du PLQ et ancien candidat Ghyslain Vaillancourt estime que son parti a du mal à recruter des vedettes et des candidats parce que le parti n’est pas au pouvoir.
« On dit toujours que le parti au pouvoir est toujours plus facile à recruter. Et le Parti libéral n’est pas au pouvoir”, a-t-il dit, présent lors de l’annonce du matin. Il soutient que le PLQ fait quand même « du bon travail ».
Déclarations controversées
De plus, certains candidats n’ont pas tardé à embarrasser le chef en début de campagne pour des propos sur le déclin de la langue française.
Le candidat de Jean-Lesage au Québec, Charles Robert, a déclaré lundi que la langue parlée à la maison n’est “pas un bon indicateur” du déclin du français.
La veille, l’ancien procureur fédéral et candidat du PLQ en Acadie, André A. Morin, avait affirmé que le déclin du français n’était pas préoccupant car il y a suffisamment de mesures au Québec pour assurer sa survie.
Puis mardi, le candidat libéral dans Marguerite-Bourgeoys, Fred Beauchemin, a comparé la gestion par décret du gouvernement de François Legault pendant la pandémie à la position de Donald Trump.
La chef libérale n’est cependant pas allée aussi loin que son candidat. Il a fait valoir qu’”avec un gouvernement dirigé par décret” pendant la pandémie et “17 milliards de dollars d’attributions de contrats sans appel d’offres”, il y a “beaucoup de questions qui se posent”.
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title: “Qu Bec 2022 Campagne Lib Rale Au Point Mort Klmat” ShowToc: true date: “2022-11-08” author: “Jimmie Jones”
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Le chef libéral devait visiter les Jardins communautaires de Montmagny. Les plans ont rapidement changé mardi matin après l’annonce de l’allocation aux personnes âgées de 2 000 $.
En raison des risques d’orages, l’équipe de Dominique Anglade a informé les journalistes suivant la caravane du chef que le départ pour Montagny était reporté.
Une autre activité devait avoir lieu en après-midi à Sainte-Foy, comté de Jean-Talon, afin de désamorcer la situation. Enfin rien. Le bus des médias est resté stationné devant l’Assemblée nationale pendant près de 4 heures. Les journalistes pourraient également travailler depuis leur propre bureau.
Ainsi, la troisième journée de la campagne libérale se résumera à une publicité recyclée tôt le matin (voir ci-dessous) et à un rassemblement en soirée à Montmagny. À l’exception d’un bref instant dans la circonscription montréalaise de Lafontaine en début de campagne, la caravane libérale a fait sa tournée dans la région de la capitale nationale, où les derniers sondages la situent à seulement 6 %.
Pour ne rien arranger, en route vers le rassemblement militaire de Montmagny en fin de journée, le car des médias qui suivait la caravane libérale a connu des problèmes mécaniques et a dû s’arrêter quelques minutes sur l’autoroute 20.
Une fois dans le rassemblement, dans la circonscription de Côte-du-Sud, une trentaine de personnes s’y sont rassemblées. On pourrait presque entendre une mouche tomber là-bas.
Publicité recyclée
Comme François Legault, la libérale Dominique Anglade a voulu profiter de cette journée pour tenter de convaincre les personnes âgées de voter en faveur de son éducation.
Mme Anglade espérait aussi relancer sa campagne dans la région de Québec.
Pourtant, l’engagement présenté mardi matin est connu depuis un certain temps. En novembre 2021, Mme Anglade a dévoilé son projet d’Allocation aux aînés non imposable de 2 000 $, qui permettra aux personnes âgées de 70 ans et plus de faire face à la hausse du coût de la vie et d’adapter leur domicile pour y recevoir des soins. Près d’un an plus tard, elle réitère sa promesse.
peu de candidats
Cette annonce a été faite au lendemain d’une journée difficile dans la capitale nationale. Le parti peine à recruter des candidats à travers le Québec, ce qui irrite le chef qui est obligé de répondre à de nombreuses questions sur ce dossier à chaque crise de presse.
Mardi encore, l’absence de candidat dans plusieurs circonscriptions a éclipsé son annonce quotidienne pour tenter de renverser la vapeur.
Lundi, deux personnes (Vanier Les-Rivières et Richmond) ont retiré leur candidature, et Mme Anglade a été forcée de se séparer de sa directrice de recherche, Julie White, afin que cette dernière puisse jouer le rôle de candidate dans le comté de Jean-Talon.
« Il ne s’agit pas d’une candidature spontanée. C’était quelque chose qui était prévu. Ma candidature devait être annoncée plus tôt, mais il y avait des problèmes de COVID dans le bus, nous nous sommes donc arrangés pour quitter la campagne puis entrer dans la course », a déclaré Mme White. « Ma photo a été prise et les signes viendront rapidement. Je serai au sol cet après-midi à Jean-Talon.
Le groupe libéral n’est pas encore complet. Actuellement, 109 circonscriptions sur 125 ont un candidat officiel.
“Je suis sûr que j’aurai 125 candidats, sans hésiter”, s’est défendu Dominique Anglade, réitérant que l’équipe sera au complet “bientôt”.
Le militant du PLQ et ancien candidat Ghyslain Vaillancourt estime que son parti a du mal à recruter des vedettes et des candidats parce que le parti n’est pas au pouvoir.
« On dit toujours que le parti au pouvoir est toujours plus facile à recruter. Et le Parti libéral n’est pas au pouvoir”, a-t-il dit, présent lors de l’annonce du matin. Il soutient que le PLQ fait quand même « du bon travail ».
Déclarations controversées
De plus, certains candidats n’ont pas tardé à embarrasser le chef en début de campagne pour des propos sur le déclin de la langue française.
Le candidat de Jean-Lesage au Québec, Charles Robert, a déclaré lundi que la langue parlée à la maison n’est “pas un bon indicateur” du déclin du français.
La veille, l’ancien procureur fédéral et candidat du PLQ en Acadie, André A. Morin, avait affirmé que le déclin du français n’était pas préoccupant car il y a suffisamment de mesures au Québec pour assurer sa survie.
Puis mardi, le candidat libéral dans Marguerite-Bourgeoys, Fred Beauchemin, a comparé la gestion par décret du gouvernement de François Legault pendant la pandémie à la position de Donald Trump.
La chef libérale n’est cependant pas allée aussi loin que son candidat. Il a fait valoir qu’”avec un gouvernement dirigé par décret” pendant la pandémie et “17 milliards de dollars d’attributions de contrats sans appel d’offres”, il y a “beaucoup de questions qui se posent”.
Avez-vous des informations à partager avec nous sur cette histoire ?
Vous avez un scoop qui pourrait intéresser nos lecteurs ?
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title: “Qu Bec 2022 Campagne Lib Rale Au Point Mort Klmat” ShowToc: true date: “2022-12-12” author: “Tommie Barker”
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Le chef libéral devait visiter les Jardins communautaires de Montmagny. Les plans ont rapidement changé mardi matin après l’annonce de l’allocation aux personnes âgées de 2 000 $.
En raison des risques d’orages, l’équipe de Dominique Anglade a informé les journalistes suivant la caravane du chef que le départ pour Montagny était reporté.
Une autre activité devait avoir lieu en après-midi à Sainte-Foy, comté de Jean-Talon, afin de désamorcer la situation. Enfin rien. Le bus des médias est resté stationné devant l’Assemblée nationale pendant près de 4 heures. Les journalistes pourraient également travailler depuis leur propre bureau.
Ainsi, la troisième journée de la campagne libérale se résumera à une publicité recyclée tôt le matin (voir ci-dessous) et à un rassemblement en soirée à Montmagny. À l’exception d’un bref instant dans la circonscription montréalaise de Lafontaine en début de campagne, la caravane libérale a fait sa tournée dans la région de la capitale nationale, où les derniers sondages la situent à seulement 6 %.
Pour ne rien arranger, en route vers le rassemblement militaire de Montmagny en fin de journée, le car des médias qui suivait la caravane libérale a connu des problèmes mécaniques et a dû s’arrêter quelques minutes sur l’autoroute 20.
Une fois dans le rassemblement, dans la circonscription de Côte-du-Sud, une trentaine de personnes s’y sont rassemblées. On pourrait presque entendre une mouche tomber là-bas.
Publicité recyclée
Comme François Legault, la libérale Dominique Anglade a voulu profiter de cette journée pour tenter de convaincre les personnes âgées de voter en faveur de son éducation.
Mme Anglade espérait aussi relancer sa campagne dans la région de Québec.
Pourtant, l’engagement présenté mardi matin est connu depuis un certain temps. En novembre 2021, Mme Anglade a dévoilé son projet d’Allocation aux aînés non imposable de 2 000 $, qui permettra aux personnes âgées de 70 ans et plus de faire face à la hausse du coût de la vie et d’adapter leur domicile pour y recevoir des soins. Près d’un an plus tard, elle réitère sa promesse.
peu de candidats
Cette annonce a été faite au lendemain d’une journée difficile dans la capitale nationale. Le parti peine à recruter des candidats à travers le Québec, ce qui irrite le chef qui est obligé de répondre à de nombreuses questions sur ce dossier à chaque crise de presse.
Mardi encore, l’absence de candidat dans plusieurs circonscriptions a éclipsé son annonce quotidienne pour tenter de renverser la vapeur.
Lundi, deux personnes (Vanier Les-Rivières et Richmond) ont retiré leur candidature, et Mme Anglade a été forcée de se séparer de sa directrice de recherche, Julie White, afin que cette dernière puisse jouer le rôle de candidate dans le comté de Jean-Talon.
« Il ne s’agit pas d’une candidature spontanée. C’était quelque chose qui était prévu. Ma candidature devait être annoncée plus tôt, mais il y avait des problèmes de COVID dans le bus, nous nous sommes donc arrangés pour quitter la campagne puis entrer dans la course », a déclaré Mme White. « Ma photo a été prise et les signes viendront rapidement. Je serai au sol cet après-midi à Jean-Talon.
Le groupe libéral n’est pas encore complet. Actuellement, 109 circonscriptions sur 125 ont un candidat officiel.
“Je suis sûr que j’aurai 125 candidats, sans hésiter”, s’est défendu Dominique Anglade, réitérant que l’équipe sera au complet “bientôt”.
Le militant du PLQ et ancien candidat Ghyslain Vaillancourt estime que son parti a du mal à recruter des vedettes et des candidats parce que le parti n’est pas au pouvoir.
« On dit toujours que le parti au pouvoir est toujours plus facile à recruter. Et le Parti libéral n’est pas au pouvoir”, a-t-il dit, présent lors de l’annonce du matin. Il soutient que le PLQ fait quand même « du bon travail ».
Déclarations controversées
De plus, certains candidats n’ont pas tardé à embarrasser le chef en début de campagne pour des propos sur le déclin de la langue française.
Le candidat de Jean-Lesage au Québec, Charles Robert, a déclaré lundi que la langue parlée à la maison n’est “pas un bon indicateur” du déclin du français.
La veille, l’ancien procureur fédéral et candidat du PLQ en Acadie, André A. Morin, avait affirmé que le déclin du français n’était pas préoccupant car il y a suffisamment de mesures au Québec pour assurer sa survie.
Puis mardi, le candidat libéral dans Marguerite-Bourgeoys, Fred Beauchemin, a comparé la gestion par décret du gouvernement de François Legault pendant la pandémie à la position de Donald Trump.
La chef libérale n’est cependant pas allée aussi loin que son candidat. Il a fait valoir qu’”avec un gouvernement dirigé par décret” pendant la pandémie et “17 milliards de dollars d’attributions de contrats sans appel d’offres”, il y a “beaucoup de questions qui se posent”.
Avez-vous des informations à partager avec nous sur cette histoire ?
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