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• À lire aussi : Québec 2022 : campagne libérale au point mort
• Lire aussi : Vers un nouveau spectre politique ?
“Généralement, quand on quitte un bateau, il coule”, explique André Lamoureux, chargé de cours au Département de science politique de l’Université du Québec à Montréal.
Il ne serait pas surpris de voir le Parti libéral du Québec (PLQ) « complètement, ou presque, s’effondrer » après cette élection.
Avec 110 candidatures annoncées sur 125 et quatre désistements ces dernières semaines (voir ci-dessous), la formation de Dominique Anglade arrive dernière en matière de recrutement.
« C’est toujours dévastateur. Normalement, un parti a sa liste de candidats au moins un mois ou deux à l’avance », a déclaré M. Lamoureux.
Jusqu’à tout récemment, même la circonscription de Jean-Talon, autrefois château fort, n’avait pas de représentant. Il aura fallu attendre hier, après la visite du leader en préfecture, pour annoncer enfin une candidature.
Rien de bon
L’arrivée de la stratège Julie White pour porter les couleurs libérales à Jean-Talon n’augure rien de bon, disent les experts.
“Quand c’est du personnel politique ils se présentent, en général, c’est pour boucher des trous”, plaide le professeur de communication politique à l’Ecole nationale d’administration publique Philippe Dubois.
“La perception que cela donne est que nous essayons de remplir les comtés le plus rapidement possible”, poursuit-il.
L’ancien champion du financement PLQ est également en queue de peloton du côté des dons, a révélé notre Bureau de recherche la semaine dernière.
Et les récents sondages d’opinion ne sont pas encourageants, les libéraux enregistrant un creux historique de 7 % d’intentions de vote chez les francophones.
Pour ne rien arranger, l’équipe de Dominique Anglade a dû annuler une activité hier après-midi, obligeant le bus à rester immobilisé devant l’Assemblée nationale pendant près de quatre heures. Le véhicule transportant les médias a ensuite développé des problèmes mécaniques plus tard dans la journée.
Démarrage difficile
“Clairement, c’est un début de campagne difficile parce que ça renvoie une image qui s’éloigne de ce à quoi on est habitué avec le Parti libéral, qui est une grosse machine électorale, une machine bien huilée avec une certaine capacité à attirer des candidatures, “, analyse le politologue Philippe Dubois.
Mireille Lalancette, professeure titulaire de communication politique à l’Université du Québec à Trois-Rivières, souligne le manque de “branding” de l’éducation. À ses yeux, le PLQ peine à se distinguer de la Coalition Avenir Québec.
Les récentes promesses de campagne des deux partis présentent plusieurs similitudes, notamment en ce qui concerne la baisse d’impôt.
“C’est comme s’ils avaient perdu leur essence, leur raison d’être […]. Ça soulève de grosses interrogations sur la survie du parti”, dit-il, ajoutant que les libéraux risquent de sortir de cette campagne “meurtris”.
Il souligne également que Dominique Anglade, une “femme brillante”, est devenue chef du parti en pleine pandémie, ce qui ne lui a pas laissé le temps de prendre sa place.
Toujours sous contrôle
Malgré tout, le chef garde une “bonne attitude”, estime Philippe Dubois.
“Il ne ressemble pas à un chef abattu ou incontrôlable”, insiste-t-il.
Les anciens députés libéraux du Québec André Drolet et Raymond Bernier ont reconnu les difficultés de recrutement de leur parti politique, qu’ils attribuent entre autres à la pandémie.
“Ça fait très mal. Les gens qui y vont maintenant, chapeau ! Mais ce n’est pas facile, nous sommes dans une période difficile », a commenté M. Drolet. Comme son collègue, il reste optimiste quant à l’avenir.
– Avec Nicolas Lachance et Marie-Christine Trottier
Quatre candidats ont abandonné
François Bollet, qui devait se présenter dans Vanier-Les Rivières, a retiré sa candidature lundi. L’ancien annonceur maison du Centre Vidéotron et du Colisée de Québec a accepté un nouveau poste. Estella Normandeau, qui devait représenter le parti à Richmond – un bastion libéral pendant près de quatre décennies – a cité des raisons personnelles, professionnelles et mentales pour son départ lundi. Anne DeBlois, qui avait été choisie pour représenter les libéraux à Charlesbourg, a été mise à la porte le 12 août après que ses commentaires controversés – notamment sur l’islam – aient refait surface. Rima Choghri, qui avait été retenue comme candidate dans Vachon, s’est désistée pour des raisons familiales. Avez-vous des informations à partager avec nous sur cette histoire ? Vous avez un scoop qui pourrait intéresser nos lecteurs ? Écrivez-nous ou appelez-nous directement au 1 800-63SCOOP.
title: “Qu Bec 2022 Les Lib Raux De Dominique Anglade La D Rive Klmat” ShowToc: true date: “2022-11-29” author: “George Stiles”
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“Généralement, quand on quitte un bateau, il coule”, explique André Lamoureux, chargé de cours au Département de science politique de l’Université du Québec à Montréal.
Il ne serait pas surpris de voir le Parti libéral du Québec (PLQ) « complètement, ou presque, s’effondrer » après cette élection.
Avec 110 candidatures annoncées sur 125 et quatre désistements ces dernières semaines (voir ci-dessous), la formation de Dominique Anglade arrive dernière en matière de recrutement.
« C’est toujours dévastateur. Normalement, un parti a sa liste de candidats au moins un mois ou deux à l’avance », a déclaré M. Lamoureux.
Jusqu’à tout récemment, même la circonscription de Jean-Talon, autrefois château fort, n’avait pas de représentant. Il aura fallu attendre hier, après la visite du leader en préfecture, pour annoncer enfin une candidature.
Rien de bon
L’arrivée de la stratège Julie White pour porter les couleurs libérales à Jean-Talon n’augure rien de bon, disent les experts.
“Quand c’est du personnel politique ils se présentent, en général, c’est pour boucher des trous”, plaide le professeur de communication politique à l’Ecole nationale d’administration publique Philippe Dubois.
“La perception que cela donne est que nous essayons de remplir les comtés le plus rapidement possible”, poursuit-il.
L’ancien champion du financement PLQ est également en queue de peloton du côté des dons, a révélé notre Bureau de recherche la semaine dernière.
Et les récents sondages d’opinion ne sont pas encourageants, les libéraux enregistrant un creux historique de 7 % d’intentions de vote chez les francophones.
Pour ne rien arranger, l’équipe de Dominique Anglade a dû annuler une activité hier après-midi, obligeant le bus à rester immobilisé devant l’Assemblée nationale pendant près de quatre heures. Le véhicule transportant les médias a ensuite développé des problèmes mécaniques plus tard dans la journée.
Démarrage difficile
“Clairement, c’est un début de campagne difficile parce que ça renvoie une image qui s’éloigne de ce à quoi on est habitué avec le Parti libéral, qui est une grosse machine électorale, une machine bien huilée avec une certaine capacité à attirer des candidatures, “, analyse le politologue Philippe Dubois.
Mireille Lalancette, professeure titulaire de communication politique à l’Université du Québec à Trois-Rivières, souligne le manque de “branding” de l’éducation. À ses yeux, le PLQ peine à se distinguer de la Coalition Avenir Québec.
Les récentes promesses de campagne des deux partis présentent plusieurs similitudes, notamment en ce qui concerne la baisse d’impôt.
“C’est comme s’ils avaient perdu leur essence, leur raison d’être […]. Ça soulève de grosses interrogations sur la survie du parti”, dit-il, ajoutant que les libéraux risquent de sortir de cette campagne “meurtris”.
Il souligne également que Dominique Anglade, une “femme brillante”, est devenue chef du parti en pleine pandémie, ce qui ne lui a pas laissé le temps de prendre sa place.
Toujours sous contrôle
Malgré tout, le chef garde une “bonne attitude”, estime Philippe Dubois.
“Il ne ressemble pas à un chef abattu ou incontrôlable”, insiste-t-il.
Les anciens députés libéraux du Québec André Drolet et Raymond Bernier ont reconnu les difficultés de recrutement de leur parti politique, qu’ils attribuent entre autres à la pandémie.
“Ça fait très mal. Les gens qui y vont maintenant, chapeau ! Mais ce n’est pas facile, nous sommes dans une période difficile », a commenté M. Drolet. Comme son collègue, il reste optimiste quant à l’avenir.
– Avec Nicolas Lachance et Marie-Christine Trottier
Quatre candidats ont abandonné
François Bollet, qui devait se présenter dans Vanier-Les Rivières, a retiré sa candidature lundi. L’ancien annonceur maison du Centre Vidéotron et du Colisée de Québec a accepté un nouveau poste. Estella Normandeau, qui devait représenter le parti à Richmond – un bastion libéral pendant près de quatre décennies – a cité des raisons personnelles, professionnelles et mentales pour son départ lundi. Anne DeBlois, qui avait été choisie pour représenter les libéraux à Charlesbourg, a été mise à la porte le 12 août après que ses commentaires controversés – notamment sur l’islam – aient refait surface. Rima Choghri, qui avait été retenue comme candidate dans Vachon, s’est désistée pour des raisons familiales. Avez-vous des informations à partager avec nous sur cette histoire ? Vous avez un scoop qui pourrait intéresser nos lecteurs ? Écrivez-nous ou appelez-nous directement au 1 800-63SCOOP.
title: “Qu Bec 2022 Les Lib Raux De Dominique Anglade La D Rive Klmat” ShowToc: true date: “2022-12-10” author: “Marcus Golz”
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“Généralement, quand on quitte un bateau, il coule”, explique André Lamoureux, chargé de cours au Département de science politique de l’Université du Québec à Montréal.
Il ne serait pas surpris de voir le Parti libéral du Québec (PLQ) « complètement, ou presque, s’effondrer » après cette élection.
Avec 110 candidatures annoncées sur 125 et quatre désistements ces dernières semaines (voir ci-dessous), la formation de Dominique Anglade arrive dernière en matière de recrutement.
« C’est toujours dévastateur. Normalement, un parti a sa liste de candidats au moins un mois ou deux à l’avance », a déclaré M. Lamoureux.
Jusqu’à tout récemment, même la circonscription de Jean-Talon, autrefois château fort, n’avait pas de représentant. Il aura fallu attendre hier, après la visite du leader en préfecture, pour annoncer enfin une candidature.
Rien de bon
L’arrivée de la stratège Julie White pour porter les couleurs libérales à Jean-Talon n’augure rien de bon, disent les experts.
“Quand c’est du personnel politique ils se présentent, en général, c’est pour boucher des trous”, plaide le professeur de communication politique à l’Ecole nationale d’administration publique Philippe Dubois.
“La perception que cela donne est que nous essayons de remplir les comtés le plus rapidement possible”, poursuit-il.
L’ancien champion du financement PLQ est également en queue de peloton du côté des dons, a révélé notre Bureau de recherche la semaine dernière.
Et les récents sondages d’opinion ne sont pas encourageants, les libéraux enregistrant un creux historique de 7 % d’intentions de vote chez les francophones.
Pour ne rien arranger, l’équipe de Dominique Anglade a dû annuler une activité hier après-midi, obligeant le bus à rester immobilisé devant l’Assemblée nationale pendant près de quatre heures. Le véhicule transportant les médias a ensuite développé des problèmes mécaniques plus tard dans la journée.
Démarrage difficile
“Clairement, c’est un début de campagne difficile parce que ça renvoie une image qui s’éloigne de ce à quoi on est habitué avec le Parti libéral, qui est une grosse machine électorale, une machine bien huilée avec une certaine capacité à attirer des candidatures, “, analyse le politologue Philippe Dubois.
Mireille Lalancette, professeure titulaire de communication politique à l’Université du Québec à Trois-Rivières, souligne le manque de “branding” de l’éducation. À ses yeux, le PLQ peine à se distinguer de la Coalition Avenir Québec.
Les récentes promesses de campagne des deux partis présentent plusieurs similitudes, notamment en ce qui concerne la baisse d’impôt.
“C’est comme s’ils avaient perdu leur essence, leur raison d’être […]. Ça soulève de grosses interrogations sur la survie du parti”, dit-il, ajoutant que les libéraux risquent de sortir de cette campagne “meurtris”.
Il souligne également que Dominique Anglade, une “femme brillante”, est devenue chef du parti en pleine pandémie, ce qui ne lui a pas laissé le temps de prendre sa place.
Toujours sous contrôle
Malgré tout, le chef garde une “bonne attitude”, estime Philippe Dubois.
“Il ne ressemble pas à un chef abattu ou incontrôlable”, insiste-t-il.
Les anciens députés libéraux du Québec André Drolet et Raymond Bernier ont reconnu les difficultés de recrutement de leur parti politique, qu’ils attribuent entre autres à la pandémie.
“Ça fait très mal. Les gens qui y vont maintenant, chapeau ! Mais ce n’est pas facile, nous sommes dans une période difficile », a commenté M. Drolet. Comme son collègue, il reste optimiste quant à l’avenir.
– Avec Nicolas Lachance et Marie-Christine Trottier
Quatre candidats ont abandonné
François Bollet, qui devait se présenter dans Vanier-Les Rivières, a retiré sa candidature lundi. L’ancien annonceur maison du Centre Vidéotron et du Colisée de Québec a accepté un nouveau poste. Estella Normandeau, qui devait représenter le parti à Richmond – un bastion libéral pendant près de quatre décennies – a cité des raisons personnelles, professionnelles et mentales pour son départ lundi. Anne DeBlois, qui avait été choisie pour représenter les libéraux à Charlesbourg, a été mise à la porte le 12 août après que ses commentaires controversés – notamment sur l’islam – aient refait surface. Rima Choghri, qui avait été retenue comme candidate dans Vachon, s’est désistée pour des raisons familiales. Avez-vous des informations à partager avec nous sur cette histoire ? Vous avez un scoop qui pourrait intéresser nos lecteurs ? Écrivez-nous ou appelez-nous directement au 1 800-63SCOOP.
title: “Qu Bec 2022 Les Lib Raux De Dominique Anglade La D Rive Klmat” ShowToc: true date: “2022-11-07” author: “Gloria Ortiz”
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“Généralement, quand on quitte un bateau, il coule”, explique André Lamoureux, chargé de cours au Département de science politique de l’Université du Québec à Montréal.
Il ne serait pas surpris de voir le Parti libéral du Québec (PLQ) « complètement, ou presque, s’effondrer » après cette élection.
Avec 110 candidatures annoncées sur 125 et quatre désistements ces dernières semaines (voir ci-dessous), la formation de Dominique Anglade arrive dernière en matière de recrutement.
« C’est toujours dévastateur. Normalement, un parti a sa liste de candidats au moins un mois ou deux à l’avance », a déclaré M. Lamoureux.
Jusqu’à tout récemment, même la circonscription de Jean-Talon, autrefois château fort, n’avait pas de représentant. Il aura fallu attendre hier, après la visite du leader en préfecture, pour annoncer enfin une candidature.
Rien de bon
L’arrivée de la stratège Julie White pour porter les couleurs libérales à Jean-Talon n’augure rien de bon, disent les experts.
“Quand c’est du personnel politique ils se présentent, en général, c’est pour boucher des trous”, plaide le professeur de communication politique à l’Ecole nationale d’administration publique Philippe Dubois.
“La perception que cela donne est que nous essayons de remplir les comtés le plus rapidement possible”, poursuit-il.
L’ancien champion du financement PLQ est également en queue de peloton du côté des dons, a révélé notre Bureau de recherche la semaine dernière.
Et les récents sondages d’opinion ne sont pas encourageants, les libéraux enregistrant un creux historique de 7 % d’intentions de vote chez les francophones.
Pour ne rien arranger, l’équipe de Dominique Anglade a dû annuler une activité hier après-midi, obligeant le bus à rester immobilisé devant l’Assemblée nationale pendant près de quatre heures. Le véhicule transportant les médias a ensuite développé des problèmes mécaniques plus tard dans la journée.
Démarrage difficile
“Clairement, c’est un début de campagne difficile parce que ça renvoie une image qui s’éloigne de ce à quoi on est habitué avec le Parti libéral, qui est une grosse machine électorale, une machine bien huilée avec une certaine capacité à attirer des candidatures, “, analyse le politologue Philippe Dubois.
Mireille Lalancette, professeure titulaire de communication politique à l’Université du Québec à Trois-Rivières, souligne le manque de “branding” de l’éducation. À ses yeux, le PLQ peine à se distinguer de la Coalition Avenir Québec.
Les récentes promesses de campagne des deux partis présentent plusieurs similitudes, notamment en ce qui concerne la baisse d’impôt.
“C’est comme s’ils avaient perdu leur essence, leur raison d’être […]. Ça soulève de grosses interrogations sur la survie du parti”, dit-il, ajoutant que les libéraux risquent de sortir de cette campagne “meurtris”.
Il souligne également que Dominique Anglade, une “femme brillante”, est devenue chef du parti en pleine pandémie, ce qui ne lui a pas laissé le temps de prendre sa place.
Toujours sous contrôle
Malgré tout, le chef garde une “bonne attitude”, estime Philippe Dubois.
“Il ne ressemble pas à un chef abattu ou incontrôlable”, insiste-t-il.
Les anciens députés libéraux du Québec André Drolet et Raymond Bernier ont reconnu les difficultés de recrutement de leur parti politique, qu’ils attribuent entre autres à la pandémie.
“Ça fait très mal. Les gens qui y vont maintenant, chapeau ! Mais ce n’est pas facile, nous sommes dans une période difficile », a commenté M. Drolet. Comme son collègue, il reste optimiste quant à l’avenir.
– Avec Nicolas Lachance et Marie-Christine Trottier
Quatre candidats ont abandonné
François Bollet, qui devait se présenter dans Vanier-Les Rivières, a retiré sa candidature lundi. L’ancien annonceur maison du Centre Vidéotron et du Colisée de Québec a accepté un nouveau poste. Estella Normandeau, qui devait représenter le parti à Richmond – un bastion libéral pendant près de quatre décennies – a cité des raisons personnelles, professionnelles et mentales pour son départ lundi. Anne DeBlois, qui avait été choisie pour représenter les libéraux à Charlesbourg, a été mise à la porte le 12 août après que ses commentaires controversés – notamment sur l’islam – aient refait surface. Rima Choghri, qui avait été retenue comme candidate dans Vachon, s’est désistée pour des raisons familiales. Avez-vous des informations à partager avec nous sur cette histoire ? Vous avez un scoop qui pourrait intéresser nos lecteurs ? Écrivez-nous ou appelez-nous directement au 1 800-63SCOOP.