« Il ne manque pas le sel ! « Quatorze salariés de Canard enchaîné ont pris sur eux de mettre à mal la version des faits défendue par leur direction le mercredi 31 août, concernant l’allégation de détournement de biens sociaux et de recel de détournement de biens sociaux. On rappelle que le journal paierait son associé designer André Escaro après que ce dernier ait décidé, en 1996, de prendre sa retraite. Pour justifier ce travail, le “comité directeur” a pris la plume, dans “un” de l’édition du jour, pour expliquer qu’”Edith” avait “lu la presse pour lui” et l’avait aidé à “trouver le truc qu’il fait le sel .” des 8 000 modèles créés au cours de ces vingt-quatre années.
Lire aussi : L’article est destiné à nos abonnés “Le Canard enchaîné” visés par une plainte pour détournement de biens sociaux et recel de détournement de biens sociaux
Force est de constater que les “rédacteurs, dessinateurs, sous-rédacteurs et correcteurs” du début du communiqué (ils se seraient vus refuser l’insertion de leur propre texte dans le journal) transmis au Monde et à l’AFP ne souhaitent pas cautionner une version des événements qu’ils minimisent l’abus.
Une collaboration “inconnue”
“La législation sociale française ne prévoit pas la rémunération d’un travailleur à la place d’un autre”, rappellent-ils d’abord. Plus loin, ils insistent : « Non, ce n’est pas un ‘couple’ qu’il dessine chaque semaine dans le journal ! Apparemment à regret, elles constatent “bien” que leur direction “continue d’osciller entre la thèse d’un vrai métier d’assistante et la reconnaissance d’une rémunération indirecte de son mari”, alors que le vocabulaire utilisé (“le soutenir en mâchonnant son travail”, “lire la presse à son sujet”…) leur semble “faire sourire”. L’existence – et la collaboration – d’”Edith” leur était “inconnue”. Enfin, ils regrettent que “le terme ”erreur”, reconnu par l’administration lors de la conférence de rédaction du 29 août, n’apparaisse pas, malgré l’intention affichée” dans l’explication publiée sous le titre “La réalité dépasse la fiction”. Signé par les six administrateurs du journal, ce “plaid pro domo” n’aurait en fait été rédigé que par Michel Gaillard et Nicolas Brimo, respectivement président des Editions Maréchal-Le Canard enchaîné et directeur général adjoint, assurent les rédacteurs du texte. , parmi lesquels on retrouve le doyen Claude Angeli, les designers (indépendants) Wozniak, Kerleroux, ou encore Pancho, les éditeurs David Fontaine, Anne-Sophie Mercier, etc. Portée contre X, la plainte déposée le 10 mai par Christophe Nobili, un employé du journal, vise indirectement les deux hommes.
title: “Les Ouvriers Du Canard Encha N Prennent Leurs Distances Avec Leur Direction Klmat” ShowToc: true date: “2022-12-01” author: “Brenda Arms”
« Il ne manque pas le sel ! « Quatorze salariés de Canard enchaîné ont pris sur eux de mettre à mal la version des faits défendue par leur direction le mercredi 31 août, concernant l’allégation de détournement de biens sociaux et de recel de détournement de biens sociaux. On rappelle que le journal paierait son associé designer André Escaro après que ce dernier ait décidé, en 1996, de prendre sa retraite. Pour justifier ce travail, le “comité directeur” a pris la plume, dans “un” de l’édition du jour, pour expliquer qu’”Edith” avait “lu la presse pour lui” et l’avait aidé à “trouver le truc qu’il fait le sel .” des 8 000 modèles créés au cours de ces vingt-quatre années.
Lire aussi : L’article est destiné à nos abonnés “Le Canard enchaîné” visés par une plainte pour détournement de biens sociaux et recel de détournement de biens sociaux
Force est de constater que les “rédacteurs, dessinateurs, sous-rédacteurs et correcteurs” du début du communiqué (ils se seraient vus refuser l’insertion de leur propre texte dans le journal) transmis au Monde et à l’AFP ne souhaitent pas cautionner une version des événements qu’ils minimisent l’abus.
Une collaboration “inconnue”
“La législation sociale française ne prévoit pas la rémunération d’un travailleur à la place d’un autre”, rappellent-ils d’abord. Plus loin, ils insistent : « Non, ce n’est pas un ‘couple’ qu’il dessine chaque semaine dans le journal ! Apparemment à regret, elles constatent “bien” que leur direction “continue d’osciller entre la thèse d’un vrai métier d’assistante et la reconnaissance d’une rémunération indirecte de son mari”, alors que le vocabulaire utilisé (“le soutenir en mâchonnant son travail”, “lire la presse à son sujet”…) leur semble “faire sourire”. L’existence – et la collaboration – d’”Edith” leur était “inconnue”. Enfin, ils regrettent que “le terme ”erreur”, reconnu par l’administration lors de la conférence de rédaction du 29 août, n’apparaisse pas, malgré l’intention affichée” dans l’explication publiée sous le titre “La réalité dépasse la fiction”. Signé par les six administrateurs du journal, ce “plaid pro domo” n’aurait en fait été rédigé que par Michel Gaillard et Nicolas Brimo, respectivement président des Editions Maréchal-Le Canard enchaîné et directeur général adjoint, assurent les rédacteurs du texte. , parmi lesquels on retrouve le doyen Claude Angeli, les designers (indépendants) Wozniak, Kerleroux, ou encore Pancho, les éditeurs David Fontaine, Anne-Sophie Mercier, etc. Portée contre X, la plainte déposée le 10 mai par Christophe Nobili, un employé du journal, vise indirectement les deux hommes.
title: “Les Ouvriers Du Canard Encha N Prennent Leurs Distances Avec Leur Direction Klmat” ShowToc: true date: “2022-12-05” author: “Patricia Tomidy”
« Il ne manque pas le sel ! « Quatorze salariés de Canard enchaîné ont pris sur eux de mettre à mal la version des faits défendue par leur direction le mercredi 31 août, concernant l’allégation de détournement de biens sociaux et de recel de détournement de biens sociaux. On rappelle que le journal paierait son associé designer André Escaro après que ce dernier ait décidé, en 1996, de prendre sa retraite. Pour justifier ce travail, le “comité directeur” a pris la plume, dans “un” de l’édition du jour, pour expliquer qu’”Edith” avait “lu la presse pour lui” et l’avait aidé à “trouver le truc qu’il fait le sel .” des 8 000 modèles créés au cours de ces vingt-quatre années.
Lire aussi : L’article est destiné à nos abonnés “Le Canard enchaîné” visés par une plainte pour détournement de biens sociaux et recel de détournement de biens sociaux
Force est de constater que les “rédacteurs, dessinateurs, sous-rédacteurs et correcteurs” du début du communiqué (ils se seraient vus refuser l’insertion de leur propre texte dans le journal) transmis au Monde et à l’AFP ne souhaitent pas cautionner une version des événements qu’ils minimisent l’abus.
Une collaboration “inconnue”
“La législation sociale française ne prévoit pas la rémunération d’un travailleur à la place d’un autre”, rappellent-ils d’abord. Plus loin, ils insistent : « Non, ce n’est pas un ‘couple’ qu’il dessine chaque semaine dans le journal ! Apparemment à regret, elles constatent “bien” que leur direction “continue d’osciller entre la thèse d’un vrai métier d’assistante et la reconnaissance d’une rémunération indirecte de son mari”, alors que le vocabulaire utilisé (“le soutenir en mâchonnant son travail”, “lire la presse à son sujet”…) leur semble “faire sourire”. L’existence – et la collaboration – d’”Edith” leur était “inconnue”. Enfin, ils regrettent que “le terme ”erreur”, reconnu par l’administration lors de la conférence de rédaction du 29 août, n’apparaisse pas, malgré l’intention affichée” dans l’explication publiée sous le titre “La réalité dépasse la fiction”. Signé par les six administrateurs du journal, ce “plaid pro domo” n’aurait en fait été rédigé que par Michel Gaillard et Nicolas Brimo, respectivement président des Editions Maréchal-Le Canard enchaîné et directeur général adjoint, assurent les rédacteurs du texte. , parmi lesquels on retrouve le doyen Claude Angeli, les designers (indépendants) Wozniak, Kerleroux, ou encore Pancho, les éditeurs David Fontaine, Anne-Sophie Mercier, etc. Portée contre X, la plainte déposée le 10 mai par Christophe Nobili, un employé du journal, vise indirectement les deux hommes.
title: “Les Ouvriers Du Canard Encha N Prennent Leurs Distances Avec Leur Direction Klmat” ShowToc: true date: “2022-11-02” author: “Stephen Shoemaker”
« Il ne manque pas le sel ! « Quatorze salariés de Canard enchaîné ont pris sur eux de mettre à mal la version des faits défendue par leur direction le mercredi 31 août, concernant l’allégation de détournement de biens sociaux et de recel de détournement de biens sociaux. On rappelle que le journal paierait son associé designer André Escaro après que ce dernier ait décidé, en 1996, de prendre sa retraite. Pour justifier ce travail, le “comité directeur” a pris la plume, dans “un” de l’édition du jour, pour expliquer qu’”Edith” avait “lu la presse pour lui” et l’avait aidé à “trouver le truc qu’il fait le sel .” des 8 000 modèles créés au cours de ces vingt-quatre années.
Lire aussi : L’article est destiné à nos abonnés “Le Canard enchaîné” visés par une plainte pour détournement de biens sociaux et recel de détournement de biens sociaux
Force est de constater que les “rédacteurs, dessinateurs, sous-rédacteurs et correcteurs” du début du communiqué (ils se seraient vus refuser l’insertion de leur propre texte dans le journal) transmis au Monde et à l’AFP ne souhaitent pas cautionner une version des événements qu’ils minimisent l’abus.
Une collaboration “inconnue”
“La législation sociale française ne prévoit pas la rémunération d’un travailleur à la place d’un autre”, rappellent-ils d’abord. Plus loin, ils insistent : « Non, ce n’est pas un ‘couple’ qu’il dessine chaque semaine dans le journal ! Apparemment à regret, elles constatent “bien” que leur direction “continue d’osciller entre la thèse d’un vrai métier d’assistante et la reconnaissance d’une rémunération indirecte de son mari”, alors que le vocabulaire utilisé (“le soutenir en mâchonnant son travail”, “lire la presse à son sujet”…) leur semble “faire sourire”. L’existence – et la collaboration – d’”Edith” leur était “inconnue”. Enfin, ils regrettent que “le terme ”erreur”, reconnu par l’administration lors de la conférence de rédaction du 29 août, n’apparaisse pas, malgré l’intention affichée” dans l’explication publiée sous le titre “La réalité dépasse la fiction”. Signé par les six administrateurs du journal, ce “plaid pro domo” n’aurait en fait été rédigé que par Michel Gaillard et Nicolas Brimo, respectivement président des Editions Maréchal-Le Canard enchaîné et directeur général adjoint, assurent les rédacteurs du texte. , parmi lesquels on retrouve le doyen Claude Angeli, les designers (indépendants) Wozniak, Kerleroux, ou encore Pancho, les éditeurs David Fontaine, Anne-Sophie Mercier, etc. Portée contre X, la plainte déposée le 10 mai par Christophe Nobili, un employé du journal, vise indirectement les deux hommes.