Retrouvez la version vidéo du test de The Last of Us Part 1 juste au-dessus, en lecture automatique.
Testé sur PS5. The Last of Us Part 1 sera disponible le 2 septembre 2022 (plus tard sur PC).
The Last of Us n’est pas un jeu de zombies post-apo comme les autres. Déjà parce qu’il n’y a pas de zombies à proprement parler, mais des monstres infectés par un gros champignon – c’est une précision importante – et surtout parce qu’il a poussé le studio Naughty Dog encore plus haut, parmi les principales sociétés de jeux vidéo modernes. Après avoir fait exploser l’écran actuel en 2010 avec Uncharted 2 et Uncharted 3, pourquoi ne pas complètement exploser le plafond et montrer que nous excellons dans l’écriture de héros ? C’est l’exploit de The Last of Us, unanimement salué par la presse et les gamers lors de sa sortie en 2013. Le projet qui nous intéresse aujourd’hui, The Last of Us Part 1, est un remake de ce succès, qui comprend l’extension Left Behind. En revanche, pas de revue de “Factions”, le mode multijoueur de l’époque.
Né aux États-Unis
Avant de se lancer dans les nouveautés et les visuels inédits de ce remake, The Last of Us Part 1 reste avant tout l’histoire d’Ellie et Joël, qui ont arpenté les rues des Etats-Unis à la recherche des Lucioles. Une histoire qui n’a pas bougé d’un pouce. L’équipe de Naughty Dog a soigneusement recréé chaque dialogue et chaque décor ici avec leur nouveau moteur – et ce n’est clairement pas une mauvaise chose. Même après tout ce temps, l’écriture de The Last of Us n’a pas pris une ride, toujours aussi juste, touchante, bouleversante. Quel frisson de voir la relation d’Elli écrite à nouveau | Joël (surtout avec des visages aussi crédibles) au fur et à mesure des scènes d’une rare authenticité. Bien sûr, difficile de ne pas avoir en tête The Last of Us Part 2, encore plus ambitieux sur le plan narratif. Mais la magie de 2013 opère, que ce soit l’aventure principale ou le DLC Left Behind, qui touche souvent la corde sensible. L’extension montre une tranche du passé d’Ellie, avant qu’elle ne rencontre Joel, accompagnée de sa meilleure amie Riley. Avec ces deux faces d’une même médaille, vous aurez votre part d’émotions et un total d’environ 18 à 20 heures de jeu. The Last of Us Part 1 – Longue cinématique de voiture (mode fidélité)
Tombeau des Lucioles
Alors oui, pas de surprise ! L’écriture de The Last of Us Part 1 reste identique à l’œuvre originale. Ce qui est plus surprenant cependant, c’est que la structure et le level design de l’aventure suivent scrupuleusement le même chemin – pour un résultat moins excitant. Naturellement, le premier The Last of Us repose sur une base beaucoup plus classique et linéaire que le second volet, suivant bien souvent le format “narration, exploration, combat, exploration, narration…” qui est lui aussi en niveaux étroits et petits. . favorise l’exploration (par rapport à The Last of Us Part 2). Sans oublier les puzzles à l’ancienne à base d’échelles et de planches en bois ! Notamment, l’ensemble manque beaucoup de souffle, d’espaces ouverts. The Last of Us Part 1 semble donc coincé entre deux époques, avec sa structure d’une part et ses visuels d’autre part. Cela dit, gardez les pieds sur terre. Le cours The Last of Us Part 1 est peut-être classique, mais il fonctionne bien malgré tout ! Déjà parce que les décors qui s’entrecroisent sont suffisamment variés – du moins en termes d’ambiance – pour raviver l’intérêt du joueur. Mais surtout parce que dans The Last of Us, l’histoire est un formidable moteur de développement. Qu’il s’agisse d’une scène touchante à deux personnages, d’une séquence d’action qui sort de nulle part ou encore d’un rebondissement qui remet tout en question, Naughty Dog ne manque pas de ressources pour nous remettre sur les rails. Qu’en est-il du DLC Left Behind ? C’est presque un bonbon que vous aurez envie d’avaler, 2-3 heures après le début du jeu. Même si nous connaissons le titre de base, nous sommes à nouveau tombés amoureux de The Last of Us. Il y est vraiment pour quelque chose.
Clic technique ?
Nous voilà ! “L’éléphant dans la pièce” pour The Last of Us Part 1 : Refonte graphique. Une refonte avec un “R” majuscule dans la mesure où l’équipe de Naughty Dog a non seulement mis à jour les textures, mais a remanié la direction artistique. N’allons pas par quatre chemins. Dans ce remake, le travail graphique est assez exemplaire. Ici, le studio PlayStation montre une nouvelle fois toute l’étendue de son savoir-faire technique, avec un projet qui place la barre encore plus haut que le second opus grâce à la résolution de la PS5. The Last of Us Part 1 propose ainsi deux modes graphiques. Le premier, “Fidelity”, offre une résolution 4K native et un objectif de fréquence d’images de 40 images par seconde (avec des baisses normales pour les moments riches). Le second, “Performance”, privilégie la fluidité à 60 ips avec du 4K dynamique ou – selon votre moniteur – du 1440p. A noter toutefois que dans ce dernier cas, les nouveaux visuels de The Last of Us sont moins glamour, et que le mode se révèle particulièrement utile pour des combats plus fluides. The Last of Us Part 1 vous permet de passer de la fidélité à la performance à la volée, sans revenir à l’écran titre ni recharger un jeu. Évidemment, avant même les décors, ce sont les visages des personnages qui profitent de ce gain en puissance. Jamais la silhouette d’Ellie, Joël, Tess ou même Riley n’a été aussi authentique et crédible, ajoutant sans aucun doute à l’impact émotionnel de nombreuses scènes. A cet égard, The Last of Us Part 1 n’a pas grand chose à envier au second volet. Même remarque concernant les décors, encore plus convaincants et immersifs qu’auparavant (mention spéciale aux effets de lumière somptueux). Après oui, il y a quand même deux ou trois détails moins flatteurs, comme les animations de PNJ qui rappellent 2013, les alliés qui courent dans les phases d’action, et les bugs d’affichage. Mais rien de grave ! Au total, on peut dire que le contrat a été rempli à 100%, à tel point qu’on aimerait explorer au-delà des limites fixées par le titre de base. Des limites qui, d’ailleurs, font parfois oublier ce solide projet de remake, quand la technique devient moins ostentatoire, notamment dans les phases indoor. Une impression qui se ressent aussi au niveau du design et du gameplay.
Un contre un !
Somme toute, s’il est évident que l’on veut comparer The Last of Us Part 1 avec le deuxième épisode de la licence, il ne faut pas oublier de prendre cette version 2022 telle quelle. Si le level design et la structure sont plus classiques, cela fonctionne plutôt bien qu’autre chose – et il en va de même pour le gameplay. Le studio Naughty Dog propose ainsi un gameplay plus moderne qu’auparavant basé sur tous les composants du logiciel d’origine. Le combat au corps à corps est désormais plus viscéral, avec une caméra qui colle à l’action et des animations plus dures. De la même manière, il est désormais plus facile de saisir puis de lancer un objet sur un ennemi (brique ou bouteille). Vous pouvez également utiliser le gyroscope du DualSense pour ajuster votre visée, une aide agréable mais pas encore parfaite. Sinon, The Last of Us Part 1 est un jeu d’action-infiltration certes classique mais plutôt réussi à rendre compte de l’urgence et de la violence des frappes. Pas révolutionnaire, mais solide ! The Last of Us Part 1 – Furtivité haute tension (mode fidélité) Autrement dit, avec ce remake, vous n’aurez aucun mal à vous sentir l’âme d’un survivant après la fin, surtout dans le mode de difficulté plus élevé (le défi est également personnalisable de A à Z selon de multiples réglages, comme dans The Last of Us Partie 2). La combinaison de l’artisanat, de la survie et des armes à feu reste une valeur sûre. Sans oublier le joli boost qu’apportent les vibrations DualSense, qui donne une personnalité agréable à toute défense. Pour rappel, dans The Last of Us, les munitions sont généralement limitées et vous devrez utiliser ce dont vous avez besoin pour vous débrouiller. Mais la discrétion est aussi une solution ! Tout comme dans le jeu de base, vous pouvez également améliorer les compétences du héros et des armes. Pourtant, c’est là que nous aimerions pouvoir nous allonger sur le ventre et esquiver, comme dans la deuxième partie. Un dernier point qui aurait évité la frustration pendant les matchs.
derrière la montagne
En revanche, The Last of Us Part 1 ajoute pas mal de bonus qui feront plaisir aux fans. A commencer par une option permadeath, un mode speedrun, des images | Des modèles 3D inédits à afficher dans le menu Bonus, des skins et même des commentaires en jeu du réalisateur Neil Druckmann et de la distribution originale d’Ellie et Joel. Un nouveau mode photo en fait également partie, ainsi que tout un système de personnalisation des commandes. Comme vous pouvez le voir, il y a beaucoup de choses à débloquer. Mais l’ajout le plus essentiel – et le plus important – à ce niveau est sans aucun doute le…
title: “Test De The Last Of Us Part I Sur Ps5 Sur Jeuxvideo.Com Klmat” ShowToc: true date: “2022-10-25” author: “Erica Revard”
Retrouvez la version vidéo du test de The Last of Us Part 1 juste au-dessus, en lecture automatique.
Testé sur PS5. The Last of Us Part 1 sera disponible le 2 septembre 2022 (plus tard sur PC).
The Last of Us n’est pas un jeu de zombies post-apo comme les autres. Déjà parce qu’il n’y a pas de zombies à proprement parler, mais des monstres infectés par un gros champignon – c’est une précision importante – et surtout parce qu’il a poussé le studio Naughty Dog encore plus haut, parmi les principales sociétés de jeux vidéo modernes. Après avoir fait exploser l’écran actuel en 2010 avec Uncharted 2 et Uncharted 3, pourquoi ne pas complètement exploser le plafond et montrer que nous excellons dans l’écriture de héros ? C’est l’exploit de The Last of Us, unanimement salué par la presse et les gamers lors de sa sortie en 2013. Le projet qui nous intéresse aujourd’hui, The Last of Us Part 1, est un remake de ce succès, qui comprend l’extension Left Behind. En revanche, pas de revue de “Factions”, le mode multijoueur de l’époque.
Né aux États-Unis
Avant de se lancer dans les nouveautés et les visuels inédits de ce remake, The Last of Us Part 1 reste avant tout l’histoire d’Ellie et Joël, qui ont arpenté les rues des Etats-Unis à la recherche des Lucioles. Une histoire qui n’a pas bougé d’un pouce. L’équipe de Naughty Dog a soigneusement recréé chaque dialogue et chaque décor ici avec leur nouveau moteur – et ce n’est clairement pas une mauvaise chose. Même après tout ce temps, l’écriture de The Last of Us n’a pas pris une ride, toujours aussi juste, touchante, bouleversante. Quel frisson de voir la relation d’Elli écrite à nouveau | Joël (surtout avec des visages aussi crédibles) au fur et à mesure des scènes d’une rare authenticité. Bien sûr, difficile de ne pas avoir en tête The Last of Us Part 2, encore plus ambitieux sur le plan narratif. Mais la magie de 2013 opère, que ce soit l’aventure principale ou le DLC Left Behind, qui touche souvent la corde sensible. L’extension montre une tranche du passé d’Ellie, avant qu’elle ne rencontre Joel, accompagnée de sa meilleure amie Riley. Avec ces deux faces d’une même médaille, vous aurez votre part d’émotions et un total d’environ 18 à 20 heures de jeu. The Last of Us Part 1 – Longue cinématique de voiture (mode fidélité)
Tombeau des Lucioles
Alors oui, pas de surprise ! L’écriture de The Last of Us Part 1 reste identique à l’œuvre originale. Ce qui est plus surprenant cependant, c’est que la structure et le level design de l’aventure suivent scrupuleusement le même chemin – pour un résultat moins excitant. Naturellement, le premier The Last of Us repose sur une base beaucoup plus classique et linéaire que le second volet, suivant bien souvent le format “narration, exploration, combat, exploration, narration…” qui est lui aussi en niveaux étroits et petits. . favorise l’exploration (par rapport à The Last of Us Part 2). Sans oublier les puzzles à l’ancienne à base d’échelles et de planches en bois ! Notamment, l’ensemble manque beaucoup de souffle, d’espaces ouverts. The Last of Us Part 1 semble donc coincé entre deux époques, avec sa structure d’une part et ses visuels d’autre part. Cela dit, gardez les pieds sur terre. Le cours The Last of Us Part 1 est peut-être classique, mais il fonctionne bien malgré tout ! Déjà parce que les décors qui s’entrecroisent sont suffisamment variés – du moins en termes d’ambiance – pour raviver l’intérêt du joueur. Mais surtout parce que dans The Last of Us, l’histoire est un formidable moteur de développement. Qu’il s’agisse d’une scène touchante à deux personnages, d’une séquence d’action qui sort de nulle part ou encore d’un rebondissement qui remet tout en question, Naughty Dog ne manque pas de ressources pour nous remettre sur les rails. Qu’en est-il du DLC Left Behind ? C’est presque un bonbon que vous aurez envie d’avaler, 2-3 heures après le début du jeu. Même si nous connaissons le titre de base, nous sommes à nouveau tombés amoureux de The Last of Us. Il y est vraiment pour quelque chose.
Clic technique ?
Nous voilà ! “L’éléphant dans la pièce” pour The Last of Us Part 1 : Refonte graphique. Une refonte avec un “R” majuscule dans la mesure où l’équipe de Naughty Dog a non seulement mis à jour les textures, mais a remanié la direction artistique. N’allons pas par quatre chemins. Dans ce remake, le travail graphique est assez exemplaire. Ici, le studio PlayStation montre une nouvelle fois toute l’étendue de son savoir-faire technique, avec un projet qui place la barre encore plus haut que le second opus grâce à la résolution de la PS5. The Last of Us Part 1 propose ainsi deux modes graphiques. Le premier, “Fidelity”, offre une résolution 4K native et un objectif de fréquence d’images de 40 images par seconde (avec des baisses normales pour les moments riches). Le second, “Performance”, privilégie la fluidité à 60 ips avec du 4K dynamique ou – selon votre moniteur – du 1440p. A noter toutefois que dans ce dernier cas, les nouveaux visuels de The Last of Us sont moins glamour, et que le mode se révèle particulièrement utile pour des combats plus fluides. The Last of Us Part 1 vous permet de passer de la fidélité à la performance à la volée, sans revenir à l’écran titre ni recharger un jeu. Évidemment, avant même les décors, ce sont les visages des personnages qui profitent de ce gain en puissance. Jamais la silhouette d’Ellie, Joël, Tess ou même Riley n’a été aussi authentique et crédible, ajoutant sans aucun doute à l’impact émotionnel de nombreuses scènes. A cet égard, The Last of Us Part 1 n’a pas grand chose à envier au second volet. Même remarque concernant les décors, encore plus convaincants et immersifs qu’auparavant (mention spéciale aux effets de lumière somptueux). Après oui, il y a quand même deux ou trois détails moins flatteurs, comme les animations de PNJ qui rappellent 2013, les alliés qui courent dans les phases d’action, et les bugs d’affichage. Mais rien de grave ! Au total, on peut dire que le contrat a été rempli à 100%, à tel point qu’on aimerait explorer au-delà des limites fixées par le titre de base. Des limites qui, d’ailleurs, font parfois oublier ce solide projet de remake, quand la technique devient moins ostentatoire, notamment dans les phases indoor. Une impression qui se ressent aussi au niveau du design et du gameplay.
Un contre un !
Somme toute, s’il est évident que l’on veut comparer The Last of Us Part 1 avec le deuxième épisode de la licence, il ne faut pas oublier de prendre cette version 2022 telle quelle. Si le level design et la structure sont plus classiques, cela fonctionne plutôt bien qu’autre chose – et il en va de même pour le gameplay. Le studio Naughty Dog propose ainsi un gameplay plus moderne qu’auparavant basé sur tous les composants du logiciel d’origine. Le combat au corps à corps est désormais plus viscéral, avec une caméra qui colle à l’action et des animations plus dures. De la même manière, il est désormais plus facile de saisir puis de lancer un objet sur un ennemi (brique ou bouteille). Vous pouvez également utiliser le gyroscope du DualSense pour ajuster votre visée, une aide agréable mais pas encore parfaite. Sinon, The Last of Us Part 1 est un jeu d’action-infiltration certes classique mais plutôt réussi à rendre compte de l’urgence et de la violence des frappes. Pas révolutionnaire, mais solide ! The Last of Us Part 1 – Furtivité haute tension (mode fidélité) Autrement dit, avec ce remake, vous n’aurez aucun mal à vous sentir l’âme d’un survivant après la fin, surtout dans le mode de difficulté plus élevé (le défi est également personnalisable de A à Z selon de multiples réglages, comme dans The Last of Us Partie 2). La combinaison de l’artisanat, de la survie et des armes à feu reste une valeur sûre. Sans oublier le joli boost qu’apportent les vibrations DualSense, qui donne une personnalité agréable à toute défense. Pour rappel, dans The Last of Us, les munitions sont généralement limitées et vous devrez utiliser ce dont vous avez besoin pour vous débrouiller. Mais la discrétion est aussi une solution ! Tout comme dans le jeu de base, vous pouvez également améliorer les compétences du héros et des armes. Pourtant, c’est là que nous aimerions pouvoir nous allonger sur le ventre et esquiver, comme dans la deuxième partie. Un dernier point qui aurait évité la frustration pendant les matchs.
derrière la montagne
En revanche, The Last of Us Part 1 ajoute pas mal de bonus qui feront plaisir aux fans. A commencer par une option permadeath, un mode speedrun, des images | Des modèles 3D inédits à afficher dans le menu Bonus, des skins et même des commentaires en jeu du réalisateur Neil Druckmann et de la distribution originale d’Ellie et Joel. Un nouveau mode photo en fait également partie, ainsi que tout un système de personnalisation des commandes. Comme vous pouvez le voir, il y a beaucoup de choses à débloquer. Mais l’ajout le plus essentiel – et le plus important – à ce niveau est sans aucun doute le…
title: “Test De The Last Of Us Part I Sur Ps5 Sur Jeuxvideo.Com Klmat” ShowToc: true date: “2022-12-13” author: “Jane Briscoe”
Retrouvez la version vidéo du test de The Last of Us Part 1 juste au-dessus, en lecture automatique.
Testé sur PS5. The Last of Us Part 1 sera disponible le 2 septembre 2022 (plus tard sur PC).
The Last of Us n’est pas un jeu de zombies post-apo comme les autres. Déjà parce qu’il n’y a pas de zombies à proprement parler, mais des monstres infectés par un gros champignon – c’est une précision importante – et surtout parce qu’il a poussé le studio Naughty Dog encore plus haut, parmi les principales sociétés de jeux vidéo modernes. Après avoir fait exploser l’écran actuel en 2010 avec Uncharted 2 et Uncharted 3, pourquoi ne pas complètement exploser le plafond et montrer que nous excellons dans l’écriture de héros ? C’est l’exploit de The Last of Us, unanimement salué par la presse et les gamers lors de sa sortie en 2013. Le projet qui nous intéresse aujourd’hui, The Last of Us Part 1, est un remake de ce succès, qui comprend l’extension Left Behind. En revanche, pas de revue de “Factions”, le mode multijoueur de l’époque.
Né aux États-Unis
Avant de se lancer dans les nouveautés et les visuels inédits de ce remake, The Last of Us Part 1 reste avant tout l’histoire d’Ellie et Joël, qui ont arpenté les rues des Etats-Unis à la recherche des Lucioles. Une histoire qui n’a pas bougé d’un pouce. L’équipe de Naughty Dog a soigneusement recréé chaque dialogue et chaque décor ici avec leur nouveau moteur – et ce n’est clairement pas une mauvaise chose. Même après tout ce temps, l’écriture de The Last of Us n’a pas pris une ride, toujours aussi juste, touchante, bouleversante. Quel frisson de voir la relation d’Elli écrite à nouveau | Joël (surtout avec des visages aussi crédibles) au fur et à mesure des scènes d’une rare authenticité. Bien sûr, difficile de ne pas avoir en tête The Last of Us Part 2, encore plus ambitieux sur le plan narratif. Mais la magie de 2013 opère, que ce soit l’aventure principale ou le DLC Left Behind, qui touche souvent la corde sensible. L’extension montre une tranche du passé d’Ellie, avant qu’elle ne rencontre Joel, accompagnée de sa meilleure amie Riley. Avec ces deux faces d’une même médaille, vous aurez votre part d’émotions et un total d’environ 18 à 20 heures de jeu. The Last of Us Part 1 – Longue cinématique de voiture (mode fidélité)
Tombeau des Lucioles
Alors oui, pas de surprise ! L’écriture de The Last of Us Part 1 reste identique à l’œuvre originale. Ce qui est plus surprenant cependant, c’est que la structure et le level design de l’aventure suivent scrupuleusement le même chemin – pour un résultat moins excitant. Naturellement, le premier The Last of Us repose sur une base beaucoup plus classique et linéaire que le second volet, suivant bien souvent le format “narration, exploration, combat, exploration, narration…” qui est lui aussi en niveaux étroits et petits. . favorise l’exploration (par rapport à The Last of Us Part 2). Sans oublier les puzzles à l’ancienne à base d’échelles et de planches en bois ! Notamment, l’ensemble manque beaucoup de souffle, d’espaces ouverts. The Last of Us Part 1 semble donc coincé entre deux époques, avec sa structure d’une part et ses visuels d’autre part. Cela dit, gardez les pieds sur terre. Le cours The Last of Us Part 1 est peut-être classique, mais il fonctionne bien malgré tout ! Déjà parce que les décors qui s’entrecroisent sont suffisamment variés – du moins en termes d’ambiance – pour raviver l’intérêt du joueur. Mais surtout parce que dans The Last of Us, l’histoire est un formidable moteur de développement. Qu’il s’agisse d’une scène touchante à deux personnages, d’une séquence d’action qui sort de nulle part ou encore d’un rebondissement qui remet tout en question, Naughty Dog ne manque pas de ressources pour nous remettre sur les rails. Qu’en est-il du DLC Left Behind ? C’est presque un bonbon que vous aurez envie d’avaler, 2-3 heures après le début du jeu. Même si nous connaissons le titre de base, nous sommes à nouveau tombés amoureux de The Last of Us. Il y est vraiment pour quelque chose.
Clic technique ?
Nous voilà ! “L’éléphant dans la pièce” pour The Last of Us Part 1 : Refonte graphique. Une refonte avec un “R” majuscule dans la mesure où l’équipe de Naughty Dog a non seulement mis à jour les textures, mais a remanié la direction artistique. N’allons pas par quatre chemins. Dans ce remake, le travail graphique est assez exemplaire. Ici, le studio PlayStation montre une nouvelle fois toute l’étendue de son savoir-faire technique, avec un projet qui place la barre encore plus haut que le second opus grâce à la résolution de la PS5. The Last of Us Part 1 propose ainsi deux modes graphiques. Le premier, “Fidelity”, offre une résolution 4K native et un objectif de fréquence d’images de 40 images par seconde (avec des baisses normales pour les moments riches). Le second, “Performance”, privilégie la fluidité à 60 ips avec du 4K dynamique ou – selon votre moniteur – du 1440p. A noter toutefois que dans ce dernier cas, les nouveaux visuels de The Last of Us sont moins glamour, et que le mode se révèle particulièrement utile pour des combats plus fluides. The Last of Us Part 1 vous permet de passer de la fidélité à la performance à la volée, sans revenir à l’écran titre ni recharger un jeu. Évidemment, avant même les décors, ce sont les visages des personnages qui profitent de ce gain en puissance. Jamais la silhouette d’Ellie, Joël, Tess ou même Riley n’a été aussi authentique et crédible, ajoutant sans aucun doute à l’impact émotionnel de nombreuses scènes. A cet égard, The Last of Us Part 1 n’a pas grand chose à envier au second volet. Même remarque concernant les décors, encore plus convaincants et immersifs qu’auparavant (mention spéciale aux effets de lumière somptueux). Après oui, il y a quand même deux ou trois détails moins flatteurs, comme les animations de PNJ qui rappellent 2013, les alliés qui courent dans les phases d’action, et les bugs d’affichage. Mais rien de grave ! Au total, on peut dire que le contrat a été rempli à 100%, à tel point qu’on aimerait explorer au-delà des limites fixées par le titre de base. Des limites qui, d’ailleurs, font parfois oublier ce solide projet de remake, quand la technique devient moins ostentatoire, notamment dans les phases indoor. Une impression qui se ressent aussi au niveau du design et du gameplay.
Un contre un !
Somme toute, s’il est évident que l’on veut comparer The Last of Us Part 1 avec le deuxième épisode de la licence, il ne faut pas oublier de prendre cette version 2022 telle quelle. Si le level design et la structure sont plus classiques, cela fonctionne plutôt bien qu’autre chose – et il en va de même pour le gameplay. Le studio Naughty Dog propose ainsi un gameplay plus moderne qu’auparavant basé sur tous les composants du logiciel d’origine. Le combat au corps à corps est désormais plus viscéral, avec une caméra qui colle à l’action et des animations plus dures. De la même manière, il est désormais plus facile de saisir puis de lancer un objet sur un ennemi (brique ou bouteille). Vous pouvez également utiliser le gyroscope du DualSense pour ajuster votre visée, une aide agréable mais pas encore parfaite. Sinon, The Last of Us Part 1 est un jeu d’action-infiltration certes classique mais plutôt réussi à rendre compte de l’urgence et de la violence des frappes. Pas révolutionnaire, mais solide ! The Last of Us Part 1 – Furtivité haute tension (mode fidélité) Autrement dit, avec ce remake, vous n’aurez aucun mal à vous sentir l’âme d’un survivant après la fin, surtout dans le mode de difficulté plus élevé (le défi est également personnalisable de A à Z selon de multiples réglages, comme dans The Last of Us Partie 2). La combinaison de l’artisanat, de la survie et des armes à feu reste une valeur sûre. Sans oublier le joli boost qu’apportent les vibrations DualSense, qui donne une personnalité agréable à toute défense. Pour rappel, dans The Last of Us, les munitions sont généralement limitées et vous devrez utiliser ce dont vous avez besoin pour vous débrouiller. Mais la discrétion est aussi une solution ! Tout comme dans le jeu de base, vous pouvez également améliorer les compétences du héros et des armes. Pourtant, c’est là que nous aimerions pouvoir nous allonger sur le ventre et esquiver, comme dans la deuxième partie. Un dernier point qui aurait évité la frustration pendant les matchs.
derrière la montagne
En revanche, The Last of Us Part 1 ajoute pas mal de bonus qui feront plaisir aux fans. A commencer par une option permadeath, un mode speedrun, des images | Des modèles 3D inédits à afficher dans le menu Bonus, des skins et même des commentaires en jeu du réalisateur Neil Druckmann et de la distribution originale d’Ellie et Joel. Un nouveau mode photo en fait également partie, ainsi que tout un système de personnalisation des commandes. Comme vous pouvez le voir, il y a beaucoup de choses à débloquer. Mais l’ajout le plus essentiel – et le plus important – à ce niveau est sans aucun doute le…
title: “Test De The Last Of Us Part I Sur Ps5 Sur Jeuxvideo.Com Klmat” ShowToc: true date: “2022-11-21” author: “Deborah Collins”
Retrouvez la version vidéo du test de The Last of Us Part 1 juste au-dessus, en lecture automatique.
Testé sur PS5. The Last of Us Part 1 sera disponible le 2 septembre 2022 (plus tard sur PC).
The Last of Us n’est pas un jeu de zombies post-apo comme les autres. Déjà parce qu’il n’y a pas de zombies à proprement parler, mais des monstres infectés par un gros champignon – c’est une précision importante – et surtout parce qu’il a poussé le studio Naughty Dog encore plus haut, parmi les principales sociétés de jeux vidéo modernes. Après avoir fait exploser l’écran actuel en 2010 avec Uncharted 2 et Uncharted 3, pourquoi ne pas complètement exploser le plafond et montrer que nous excellons dans l’écriture de héros ? C’est l’exploit de The Last of Us, unanimement salué par la presse et les gamers lors de sa sortie en 2013. Le projet qui nous intéresse aujourd’hui, The Last of Us Part 1, est un remake de ce succès, qui comprend l’extension Left Behind. En revanche, pas de revue de “Factions”, le mode multijoueur de l’époque.
Né aux États-Unis
Avant de se lancer dans les nouveautés et les visuels inédits de ce remake, The Last of Us Part 1 reste avant tout l’histoire d’Ellie et Joël, qui ont arpenté les rues des Etats-Unis à la recherche des Lucioles. Une histoire qui n’a pas bougé d’un pouce. L’équipe de Naughty Dog a soigneusement recréé chaque dialogue et chaque décor ici avec leur nouveau moteur – et ce n’est clairement pas une mauvaise chose. Même après tout ce temps, l’écriture de The Last of Us n’a pas pris une ride, toujours aussi juste, touchante, bouleversante. Quel frisson de voir la relation d’Elli écrite à nouveau | Joël (surtout avec des visages aussi crédibles) au fur et à mesure des scènes d’une rare authenticité. Bien sûr, difficile de ne pas avoir en tête The Last of Us Part 2, encore plus ambitieux sur le plan narratif. Mais la magie de 2013 opère, que ce soit l’aventure principale ou le DLC Left Behind, qui touche souvent la corde sensible. L’extension montre une tranche du passé d’Ellie, avant qu’elle ne rencontre Joel, accompagnée de sa meilleure amie Riley. Avec ces deux faces d’une même médaille, vous aurez votre part d’émotions et un total d’environ 18 à 20 heures de jeu. The Last of Us Part 1 – Longue cinématique de voiture (mode fidélité)
Tombeau des Lucioles
Alors oui, pas de surprise ! L’écriture de The Last of Us Part 1 reste identique à l’œuvre originale. Ce qui est plus surprenant cependant, c’est que la structure et le level design de l’aventure suivent scrupuleusement le même chemin – pour un résultat moins excitant. Naturellement, le premier The Last of Us repose sur une base beaucoup plus classique et linéaire que le second volet, suivant bien souvent le format “narration, exploration, combat, exploration, narration…” qui est lui aussi en niveaux étroits et petits. . favorise l’exploration (par rapport à The Last of Us Part 2). Sans oublier les puzzles à l’ancienne à base d’échelles et de planches en bois ! Notamment, l’ensemble manque beaucoup de souffle, d’espaces ouverts. The Last of Us Part 1 semble donc coincé entre deux époques, avec sa structure d’une part et ses visuels d’autre part. Cela dit, gardez les pieds sur terre. Le cours The Last of Us Part 1 est peut-être classique, mais il fonctionne bien malgré tout ! Déjà parce que les décors qui s’entrecroisent sont suffisamment variés – du moins en termes d’ambiance – pour raviver l’intérêt du joueur. Mais surtout parce que dans The Last of Us, l’histoire est un formidable moteur de développement. Qu’il s’agisse d’une scène touchante à deux personnages, d’une séquence d’action qui sort de nulle part ou encore d’un rebondissement qui remet tout en question, Naughty Dog ne manque pas de ressources pour nous remettre sur les rails. Qu’en est-il du DLC Left Behind ? C’est presque un bonbon que vous aurez envie d’avaler, 2-3 heures après le début du jeu. Même si nous connaissons le titre de base, nous sommes à nouveau tombés amoureux de The Last of Us. Il y est vraiment pour quelque chose.
Clic technique ?
Nous voilà ! “L’éléphant dans la pièce” pour The Last of Us Part 1 : Refonte graphique. Une refonte avec un “R” majuscule dans la mesure où l’équipe de Naughty Dog a non seulement mis à jour les textures, mais a remanié la direction artistique. N’allons pas par quatre chemins. Dans ce remake, le travail graphique est assez exemplaire. Ici, le studio PlayStation montre une nouvelle fois toute l’étendue de son savoir-faire technique, avec un projet qui place la barre encore plus haut que le second opus grâce à la résolution de la PS5. The Last of Us Part 1 propose ainsi deux modes graphiques. Le premier, “Fidelity”, offre une résolution 4K native et un objectif de fréquence d’images de 40 images par seconde (avec des baisses normales pour les moments riches). Le second, “Performance”, privilégie la fluidité à 60 ips avec du 4K dynamique ou – selon votre moniteur – du 1440p. A noter toutefois que dans ce dernier cas, les nouveaux visuels de The Last of Us sont moins glamour, et que le mode se révèle particulièrement utile pour des combats plus fluides. The Last of Us Part 1 vous permet de passer de la fidélité à la performance à la volée, sans revenir à l’écran titre ni recharger un jeu. Évidemment, avant même les décors, ce sont les visages des personnages qui profitent de ce gain en puissance. Jamais la silhouette d’Ellie, Joël, Tess ou même Riley n’a été aussi authentique et crédible, ajoutant sans aucun doute à l’impact émotionnel de nombreuses scènes. A cet égard, The Last of Us Part 1 n’a pas grand chose à envier au second volet. Même remarque concernant les décors, encore plus convaincants et immersifs qu’auparavant (mention spéciale aux effets de lumière somptueux). Après oui, il y a quand même deux ou trois détails moins flatteurs, comme les animations de PNJ qui rappellent 2013, les alliés qui courent dans les phases d’action, et les bugs d’affichage. Mais rien de grave ! Au total, on peut dire que le contrat a été rempli à 100%, à tel point qu’on aimerait explorer au-delà des limites fixées par le titre de base. Des limites qui, d’ailleurs, font parfois oublier ce solide projet de remake, quand la technique devient moins ostentatoire, notamment dans les phases indoor. Une impression qui se ressent aussi au niveau du design et du gameplay.
Un contre un !
Somme toute, s’il est évident que l’on veut comparer The Last of Us Part 1 avec le deuxième épisode de la licence, il ne faut pas oublier de prendre cette version 2022 telle quelle. Si le level design et la structure sont plus classiques, cela fonctionne plutôt bien qu’autre chose – et il en va de même pour le gameplay. Le studio Naughty Dog propose ainsi un gameplay plus moderne qu’auparavant basé sur tous les composants du logiciel d’origine. Le combat au corps à corps est désormais plus viscéral, avec une caméra qui colle à l’action et des animations plus dures. De la même manière, il est désormais plus facile de saisir puis de lancer un objet sur un ennemi (brique ou bouteille). Vous pouvez également utiliser le gyroscope du DualSense pour ajuster votre visée, une aide agréable mais pas encore parfaite. Sinon, The Last of Us Part 1 est un jeu d’action-infiltration certes classique mais plutôt réussi à rendre compte de l’urgence et de la violence des frappes. Pas révolutionnaire, mais solide ! The Last of Us Part 1 – Furtivité haute tension (mode fidélité) Autrement dit, avec ce remake, vous n’aurez aucun mal à vous sentir l’âme d’un survivant après la fin, surtout dans le mode de difficulté plus élevé (le défi est également personnalisable de A à Z selon de multiples réglages, comme dans The Last of Us Partie 2). La combinaison de l’artisanat, de la survie et des armes à feu reste une valeur sûre. Sans oublier le joli boost qu’apportent les vibrations DualSense, qui donne une personnalité agréable à toute défense. Pour rappel, dans The Last of Us, les munitions sont généralement limitées et vous devrez utiliser ce dont vous avez besoin pour vous débrouiller. Mais la discrétion est aussi une solution ! Tout comme dans le jeu de base, vous pouvez également améliorer les compétences du héros et des armes. Pourtant, c’est là que nous aimerions pouvoir nous allonger sur le ventre et esquiver, comme dans la deuxième partie. Un dernier point qui aurait évité la frustration pendant les matchs.
derrière la montagne
En revanche, The Last of Us Part 1 ajoute pas mal de bonus qui feront plaisir aux fans. A commencer par une option permadeath, un mode speedrun, des images | Des modèles 3D inédits à afficher dans le menu Bonus, des skins et même des commentaires en jeu du réalisateur Neil Druckmann et de la distribution originale d’Ellie et Joel. Un nouveau mode photo en fait également partie, ainsi que tout un système de personnalisation des commandes. Comme vous pouvez le voir, il y a beaucoup de choses à débloquer. Mais l’ajout le plus essentiel – et le plus important – à ce niveau est sans aucun doute le…