Son témoignage a permis aux enquêteurs de la gendarmerie de Saint-et-Marne de retrouver le corps de la victime, handicapée physique et mentale, dont le visage portait de nombreuses traces de coups de hache et de couteau. Depuis, les soupçons de meurtre antisémite “correspondent à une partie de la communauté juive”, indique Yonathan Arfi, président du Conseil représentatif des fondations juives de France (CRIF), qui demande aux enquêteurs “d’enquêter sur toutes les pistes à ce stade”. . y compris la possibilité du facteur aggravant de l’antisémitisme ». Le tueur présumé, Mohamed D., a été inculpé le 23 août d’« homicide volontaire » et placé en garde à vue. Selon Me Elie Korchia, avocat de la famille Haddad, parti politique, ce jeune Tunisien a justifié son geste par une tentative de rapport sexuel de la part de M. Haddad, sur fond d’alcoolisme. Une version que le conseil de famille de la victime juge fragile. Liyahou Haddad, marié avant de s’installer à son compte dans ce petit village pour y élever des chats et d’autres animaux qu’il “adorait”, souffrait de graves problèmes de santé, “il ne pouvait plus du tout marcher”, raconte son frère cadet, Elior Haddad.
“Commentaires antisémites”
Dans un communiqué daté du 30 août, le procureur de Meaux, Hervé Tetier, a indiqué que l’enquête judiciaire tentera “de rassembler tous les éléments utiles pour établir les circonstances exactes des faits”. Elle a également précisé que “si l’enquête ne comporte aucune preuve objective soulignant un mobile discriminatoire, et notamment antisémite, toute preuve permettant son établissement entraînera des requêtes du parquet tendant à aggraver la qualification retenue”. . Une réponse aux nombreuses voix qui se sont élevées pour demander que les aveux de la victime ne soient pas ignorés parmi les mobiles qui ont conduit à son assassinat brutal. S’il est certain que les deux hommes se connaissaient, il est difficile à ce stade de déterminer la nature exacte de leur relation. Selon le frère de la victime, le suspect effectuait des “travaux d’entretien réguliers” au domicile de Seine-et-Marne de son aîné. Elior Haddad dit avoir rencontré le tueur présumé une fois. Il décrit « un type un peu étrange » qui lui a tout de suite fait des « commentaires antisémites » : « Il m’a parlé d’Israël, de la Palestine, des Juifs qui ont tué les Arabes. » Il vous reste 44,58% de cet article à lire. Ce qui suit est réservé aux abonnés.
title: “Des Organisations Juives Exigent Qu Un Article Antis Mite Ne Soit Pas Abandonn Apr S La Mort D Un Homme En Seine Et Marne Klmat” ShowToc: true date: “2022-11-18” author: “Wilma Williams”
Son témoignage a permis aux enquêteurs de la gendarmerie de Saint-et-Marne de retrouver le corps de la victime, handicapée physique et mentale, dont le visage portait de nombreuses traces de coups de hache et de couteau. Depuis, les soupçons de meurtre antisémite “correspondent à une partie de la communauté juive”, indique Yonathan Arfi, président du Conseil représentatif des fondations juives de France (CRIF), qui demande aux enquêteurs “d’enquêter sur toutes les pistes à ce stade”. . y compris la possibilité du facteur aggravant de l’antisémitisme ». Le tueur présumé, Mohamed D., a été inculpé le 23 août d’« homicide volontaire » et placé en garde à vue. Selon Me Elie Korchia, avocat de la famille Haddad, parti politique, ce jeune Tunisien a justifié son geste par une tentative de rapport sexuel de la part de M. Haddad, sur fond d’alcoolisme. Une version que le conseil de famille de la victime juge fragile. Liyahou Haddad, marié avant de s’installer à son compte dans ce petit village pour y élever des chats et d’autres animaux qu’il “adorait”, souffrait de graves problèmes de santé, “il ne pouvait plus du tout marcher”, raconte son frère cadet, Elior Haddad.
“Commentaires antisémites”
Dans un communiqué daté du 30 août, le procureur de Meaux, Hervé Tetier, a indiqué que l’enquête judiciaire tentera “de rassembler tous les éléments utiles pour établir les circonstances exactes des faits”. Elle a également précisé que “si l’enquête ne comporte aucune preuve objective soulignant un mobile discriminatoire, et notamment antisémite, toute preuve permettant son établissement entraînera des requêtes du parquet tendant à aggraver la qualification retenue”. . Une réponse aux nombreuses voix qui se sont élevées pour demander que les aveux de la victime ne soient pas ignorés parmi les mobiles qui ont conduit à son assassinat brutal. S’il est certain que les deux hommes se connaissaient, il est difficile à ce stade de déterminer la nature exacte de leur relation. Selon le frère de la victime, le suspect effectuait des “travaux d’entretien réguliers” au domicile de Seine-et-Marne de son aîné. Elior Haddad dit avoir rencontré le tueur présumé une fois. Il décrit « un type un peu étrange » qui lui a tout de suite fait des « commentaires antisémites » : « Il m’a parlé d’Israël, de la Palestine, des Juifs qui ont tué les Arabes. » Il vous reste 44,58% de cet article à lire. Ce qui suit est réservé aux abonnés.
title: “Des Organisations Juives Exigent Qu Un Article Antis Mite Ne Soit Pas Abandonn Apr S La Mort D Un Homme En Seine Et Marne Klmat” ShowToc: true date: “2022-11-10” author: “Rick Brock”
Son témoignage a permis aux enquêteurs de la gendarmerie de Saint-et-Marne de retrouver le corps de la victime, handicapée physique et mentale, dont le visage portait de nombreuses traces de coups de hache et de couteau. Depuis, les soupçons de meurtre antisémite “correspondent à une partie de la communauté juive”, indique Yonathan Arfi, président du Conseil représentatif des fondations juives de France (CRIF), qui demande aux enquêteurs “d’enquêter sur toutes les pistes à ce stade”. . y compris la possibilité du facteur aggravant de l’antisémitisme ». Le tueur présumé, Mohamed D., a été inculpé le 23 août d’« homicide volontaire » et placé en garde à vue. Selon Me Elie Korchia, avocat de la famille Haddad, parti politique, ce jeune Tunisien a justifié son geste par une tentative de rapport sexuel de la part de M. Haddad, sur fond d’alcoolisme. Une version que le conseil de famille de la victime juge fragile. Liyahou Haddad, marié avant de s’installer à son compte dans ce petit village pour y élever des chats et d’autres animaux qu’il “adorait”, souffrait de graves problèmes de santé, “il ne pouvait plus du tout marcher”, raconte son frère cadet, Elior Haddad.
“Commentaires antisémites”
Dans un communiqué daté du 30 août, le procureur de Meaux, Hervé Tetier, a indiqué que l’enquête judiciaire tentera “de rassembler tous les éléments utiles pour établir les circonstances exactes des faits”. Elle a également précisé que “si l’enquête ne comporte aucune preuve objective soulignant un mobile discriminatoire, et notamment antisémite, toute preuve permettant son établissement entraînera des requêtes du parquet tendant à aggraver la qualification retenue”. . Une réponse aux nombreuses voix qui se sont élevées pour demander que les aveux de la victime ne soient pas ignorés parmi les mobiles qui ont conduit à son assassinat brutal. S’il est certain que les deux hommes se connaissaient, il est difficile à ce stade de déterminer la nature exacte de leur relation. Selon le frère de la victime, le suspect effectuait des “travaux d’entretien réguliers” au domicile de Seine-et-Marne de son aîné. Elior Haddad dit avoir rencontré le tueur présumé une fois. Il décrit « un type un peu étrange » qui lui a tout de suite fait des « commentaires antisémites » : « Il m’a parlé d’Israël, de la Palestine, des Juifs qui ont tué les Arabes. » Il vous reste 44,58% de cet article à lire. Ce qui suit est réservé aux abonnés.
title: “Des Organisations Juives Exigent Qu Un Article Antis Mite Ne Soit Pas Abandonn Apr S La Mort D Un Homme En Seine Et Marne Klmat” ShowToc: true date: “2022-10-29” author: “Dorian Rios”
Son témoignage a permis aux enquêteurs de la gendarmerie de Saint-et-Marne de retrouver le corps de la victime, handicapée physique et mentale, dont le visage portait de nombreuses traces de coups de hache et de couteau. Depuis, les soupçons de meurtre antisémite “correspondent à une partie de la communauté juive”, indique Yonathan Arfi, président du Conseil représentatif des fondations juives de France (CRIF), qui demande aux enquêteurs “d’enquêter sur toutes les pistes à ce stade”. . y compris la possibilité du facteur aggravant de l’antisémitisme ». Le tueur présumé, Mohamed D., a été inculpé le 23 août d’« homicide volontaire » et placé en garde à vue. Selon Me Elie Korchia, avocat de la famille Haddad, parti politique, ce jeune Tunisien a justifié son geste par une tentative de rapport sexuel de la part de M. Haddad, sur fond d’alcoolisme. Une version que le conseil de famille de la victime juge fragile. Liyahou Haddad, marié avant de s’installer à son compte dans ce petit village pour y élever des chats et d’autres animaux qu’il “adorait”, souffrait de graves problèmes de santé, “il ne pouvait plus du tout marcher”, raconte son frère cadet, Elior Haddad.
“Commentaires antisémites”
Dans un communiqué daté du 30 août, le procureur de Meaux, Hervé Tetier, a indiqué que l’enquête judiciaire tentera “de rassembler tous les éléments utiles pour établir les circonstances exactes des faits”. Elle a également précisé que “si l’enquête ne comporte aucune preuve objective soulignant un mobile discriminatoire, et notamment antisémite, toute preuve permettant son établissement entraînera des requêtes du parquet tendant à aggraver la qualification retenue”. . Une réponse aux nombreuses voix qui se sont élevées pour demander que les aveux de la victime ne soient pas ignorés parmi les mobiles qui ont conduit à son assassinat brutal. S’il est certain que les deux hommes se connaissaient, il est difficile à ce stade de déterminer la nature exacte de leur relation. Selon le frère de la victime, le suspect effectuait des “travaux d’entretien réguliers” au domicile de Seine-et-Marne de son aîné. Elior Haddad dit avoir rencontré le tueur présumé une fois. Il décrit « un type un peu étrange » qui lui a tout de suite fait des « commentaires antisémites » : « Il m’a parlé d’Israël, de la Palestine, des Juifs qui ont tué les Arabes. » Il vous reste 44,58% de cet article à lire. Ce qui suit est réservé aux abonnés.