• Lire aussi : Vol et vandalisme au bureau d’Enrico Ciccone «La tension, je la sens, les gens pensent que tout est beau au Québec, non!», lâche le député de Saint-Laurent, en entrevue au Bureau de notre Parlement. Il y a une dizaine de jours, un particulier a proféré des menaces à son encontre sur les réseaux sociaux. Il a ensuite téléphoné aux commissariats de police municipaux et même au bureau électoral d’un collègue député pour annoncer sa mort imminente. “Je n’ai pas dormi depuis trois nuits”, raconte la femme, enceinte de huit mois. Il avait droit à une escorte policière pendant une journée. « Là, mes genoux ont commencé à se casser. Pour la première fois je me suis dit, si je n’ai pas de compagnon, je n’ai plus envie (de faire campagne), ajoute-t-il. L’homme en question, Claude Delaney, est accusé d’avoir harcelé criminellement la députée Marwah Rizqy et de l’avoir contactée à plusieurs reprises par télécommunication. Les infractions dont l’homme de Sorel était accusé se sont déroulées entre le 1er septembre 2021 et le 25 août, selon l’acte de plainte vu par Le Journal. Il a plaidé non coupable et a été libéré sous conditions. Faire de la politique en 2022 vient désormais avec son lot de menaces et d’insultes. Les chefs de parti bénéficient principalement de mesures de sécurité importantes, mais cela ne s’applique pas aux députés non ministériels. Selon Marwah Rizqy, il est temps de s’attaquer à ce problème. “C’est notre nouvelle réalité. “Nous sommes vraiment naïfs au Canada pour un pays du G7 de penser qu’il est acceptable d’avoir autant d’élus sans aucune protection”, a-t-il déclaré. Dans mon cas, les gens me reconnaissent dans la rue, je n’ai pas de nom dont les gens ne se souviennent pas (…) Alignons nos flûtes et gardons la sécurité. Ce n’est pas comme si le Québec n’avait pas déjà des cas, il y a un fou de retour à l’Assemblée nationale, il y a eu une attaque politique contre Pauline Marois et il y a une tension sociale, c’est assez palpable. » La députée libérale de Saint-Laurent a depuis réclamé qu’on lui donne un «bouton de panique» pour qu’elle se sente plus en sécurité. Avec la collaboration d’Antoine Lacroix
title: “Un Homme Accus D Avoir Menac La Lib Rale Marwah Rizqy Klmat” ShowToc: true date: “2022-12-10” author: “Robert Lewis”
• Lire aussi : Vol et vandalisme au bureau d’Enrico Ciccone «La tension, je la sens, les gens pensent que tout est beau au Québec, non!», lâche le député de Saint-Laurent, en entrevue au Bureau de notre Parlement. Il y a une dizaine de jours, un particulier a proféré des menaces à son encontre sur les réseaux sociaux. Il a ensuite téléphoné aux commissariats de police municipaux et même au bureau électoral d’un collègue député pour annoncer sa mort imminente. “Je n’ai pas dormi depuis trois nuits”, raconte la femme, enceinte de huit mois. Il avait droit à une escorte policière pendant une journée. « Là, mes genoux ont commencé à se casser. Pour la première fois je me suis dit, si je n’ai pas de compagnon, je n’ai plus envie (de faire campagne), ajoute-t-il. L’homme en question, Claude Delaney, est accusé d’avoir harcelé criminellement la députée Marwah Rizqy et de l’avoir contactée à plusieurs reprises par télécommunication. Les infractions dont l’homme de Sorel était accusé se sont déroulées entre le 1er septembre 2021 et le 25 août, selon l’acte de plainte vu par Le Journal. Il a plaidé non coupable et a été libéré sous conditions. Faire de la politique en 2022 vient désormais avec son lot de menaces et d’insultes. Les chefs de parti bénéficient principalement de mesures de sécurité importantes, mais cela ne s’applique pas aux députés non ministériels. Selon Marwah Rizqy, il est temps de s’attaquer à ce problème. “C’est notre nouvelle réalité. “Nous sommes vraiment naïfs au Canada pour un pays du G7 de penser qu’il est acceptable d’avoir autant d’élus sans aucune protection”, a-t-il déclaré. Dans mon cas, les gens me reconnaissent dans la rue, je n’ai pas de nom dont les gens ne se souviennent pas (…) Alignons nos flûtes et gardons la sécurité. Ce n’est pas comme si le Québec n’avait pas déjà des cas, il y a un fou de retour à l’Assemblée nationale, il y a eu une attaque politique contre Pauline Marois et il y a une tension sociale, c’est assez palpable. » La députée libérale de Saint-Laurent a depuis réclamé qu’on lui donne un «bouton de panique» pour qu’elle se sente plus en sécurité. Avec la collaboration d’Antoine Lacroix
title: “Un Homme Accus D Avoir Menac La Lib Rale Marwah Rizqy Klmat” ShowToc: true date: “2022-11-30” author: “Scott Gagnon”
• Lire aussi : Vol et vandalisme au bureau d’Enrico Ciccone «La tension, je la sens, les gens pensent que tout est beau au Québec, non!», lâche le député de Saint-Laurent, en entrevue au Bureau de notre Parlement. Il y a une dizaine de jours, un particulier a proféré des menaces à son encontre sur les réseaux sociaux. Il a ensuite téléphoné aux commissariats de police municipaux et même au bureau électoral d’un collègue député pour annoncer sa mort imminente. “Je n’ai pas dormi depuis trois nuits”, raconte la femme, enceinte de huit mois. Il avait droit à une escorte policière pendant une journée. « Là, mes genoux ont commencé à se casser. Pour la première fois je me suis dit, si je n’ai pas de compagnon, je n’ai plus envie (de faire campagne), ajoute-t-il. L’homme en question, Claude Delaney, est accusé d’avoir harcelé criminellement la députée Marwah Rizqy et de l’avoir contactée à plusieurs reprises par télécommunication. Les infractions dont l’homme de Sorel était accusé se sont déroulées entre le 1er septembre 2021 et le 25 août, selon l’acte de plainte vu par Le Journal. Il a plaidé non coupable et a été libéré sous conditions. Faire de la politique en 2022 vient désormais avec son lot de menaces et d’insultes. Les chefs de parti bénéficient principalement de mesures de sécurité importantes, mais cela ne s’applique pas aux députés non ministériels. Selon Marwah Rizqy, il est temps de s’attaquer à ce problème. “C’est notre nouvelle réalité. “Nous sommes vraiment naïfs au Canada pour un pays du G7 de penser qu’il est acceptable d’avoir autant d’élus sans aucune protection”, a-t-il déclaré. Dans mon cas, les gens me reconnaissent dans la rue, je n’ai pas de nom dont les gens ne se souviennent pas (…) Alignons nos flûtes et gardons la sécurité. Ce n’est pas comme si le Québec n’avait pas déjà des cas, il y a un fou de retour à l’Assemblée nationale, il y a eu une attaque politique contre Pauline Marois et il y a une tension sociale, c’est assez palpable. » La députée libérale de Saint-Laurent a depuis réclamé qu’on lui donne un «bouton de panique» pour qu’elle se sente plus en sécurité. Avec la collaboration d’Antoine Lacroix
title: “Un Homme Accus D Avoir Menac La Lib Rale Marwah Rizqy Klmat” ShowToc: true date: “2022-12-06” author: “Luke Morris”
• Lire aussi : Vol et vandalisme au bureau d’Enrico Ciccone «La tension, je la sens, les gens pensent que tout est beau au Québec, non!», lâche le député de Saint-Laurent, en entrevue au Bureau de notre Parlement. Il y a une dizaine de jours, un particulier a proféré des menaces à son encontre sur les réseaux sociaux. Il a ensuite téléphoné aux commissariats de police municipaux et même au bureau électoral d’un collègue député pour annoncer sa mort imminente. “Je n’ai pas dormi depuis trois nuits”, raconte la femme, enceinte de huit mois. Il avait droit à une escorte policière pendant une journée. « Là, mes genoux ont commencé à se casser. Pour la première fois je me suis dit, si je n’ai pas de compagnon, je n’ai plus envie (de faire campagne), ajoute-t-il. L’homme en question, Claude Delaney, est accusé d’avoir harcelé criminellement la députée Marwah Rizqy et de l’avoir contactée à plusieurs reprises par télécommunication. Les infractions dont l’homme de Sorel était accusé se sont déroulées entre le 1er septembre 2021 et le 25 août, selon l’acte de plainte vu par Le Journal. Il a plaidé non coupable et a été libéré sous conditions. Faire de la politique en 2022 vient désormais avec son lot de menaces et d’insultes. Les chefs de parti bénéficient principalement de mesures de sécurité importantes, mais cela ne s’applique pas aux députés non ministériels. Selon Marwah Rizqy, il est temps de s’attaquer à ce problème. “C’est notre nouvelle réalité. “Nous sommes vraiment naïfs au Canada pour un pays du G7 de penser qu’il est acceptable d’avoir autant d’élus sans aucune protection”, a-t-il déclaré. Dans mon cas, les gens me reconnaissent dans la rue, je n’ai pas de nom dont les gens ne se souviennent pas (…) Alignons nos flûtes et gardons la sécurité. Ce n’est pas comme si le Québec n’avait pas déjà des cas, il y a un fou de retour à l’Assemblée nationale, il y a eu une attaque politique contre Pauline Marois et il y a une tension sociale, c’est assez palpable. » La députée libérale de Saint-Laurent a depuis réclamé qu’on lui donne un «bouton de panique» pour qu’elle se sente plus en sécurité. Avec la collaboration d’Antoine Lacroix