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“Nous jouons de manière agressive”, a déclaré le chef mercredi matin.
Pourtant, la quatrième journée de campagne électorale de Dominique Anglade a commencé de la même manière qu’elle s’est terminée hier… en se battant avec des pièges.
Il devait d’abord défendre la position dans le 3e maillon du candidat Sylvain Lemieux dans Côte-du-Sud. Ce dernier a indiqué à notre Bureau parlementaire qu’il « ne pouvait être contre » le projet de pont et d’autoroute de l’île d’Orléans proposé par le Parti conservateur du Québec. “C’est peut-être plus écologique de construire un pont que de démolir beaucoup d’appartements [pour un tunnel]. Et je regarde aussi le coût. À la hauteur de l’île d’Orléans, il y a des traverses d’Hydro-Québec », a-t-il dit, s’interrogeant sur la pertinence du tramway au Québec.
Écoutez quotidiennement l’émission éditoriale de Yasmine Abdelfadel en direct sur QUB Radio :
Mme Anglade croit que son candidat a encore sa place dans son éducation.
“Je ne suis certainement pas celle qui fait taire les candidats”, a-t-elle déclaré, en marge de son annonce sur les programmes gratuits d’écoles spécialisées.
“En revanche, nous sommes tous d’accord sur une chose, nous avons besoin d’études avant de pouvoir dire comment nous comptons voir un 3ème lien.”
Or, en janvier dernier, la chef du Parti libéral du Québec, Dominique Anglade, annonçait qu’elle tournait définitivement le dos au projet du troisième lien.
Puis, la semaine dernière, il a ouvert la porte d’un tunnel sous le fleuve pour le projet de tramway Québec-Lévis, qualifiant le 3e lien CAQ de «trou dans le fleuve» de plusieurs milliards de dollars.
«Notre plan est clair, un tramway est-ouest et un tramway nord-sud qui va jusqu’à Lévis», a-t-il dit, assurant qu’il n’était pas en désaccord avec ses candidats et les combattants libéraux de la Rive-Sud de Québec.
Puis un autre concurrent, cette fois à Mégantic, a abandonné. “Encore une fois, il y a beaucoup de raisons personnelles… La politique est un sport extrême”, a-t-il déclaré. Ratiba Fares serait parti pour des raisons professionnelles.
Depuis dimanche, l’absence de candidat dans plusieurs circonscriptions assombrit la campagne de Mme Anglade.
« Écoutez, dans les candidatures, nous aurons 125 candidats. Il y a eu des cas précis où il y avait des personnes précises, pour des raisons personnelles [qui ont] faire une croix [sur la campagne]”, a-t-il répété mercredi matin.
Il y a actuellement 109 candidats dans les rangs des libéraux.
L’organisation libérale, longtemps reconnue comme l’une des mieux huilées, semble avoir du mal à démarrer. D’anciens élus et organisateurs de la formation ont fait valoir que le parti avait longtemps délaissé l’organisation militante.
« Quand je suis devenu le chef de notre parti politique, je ne pensais pas que ce serait facile. Il y avait beaucoup de renouveau à faire et à mettre en avant. Mais je suis très fier de l’équipe que nous avons aujourd’hui”, a-t-il déclaré. “Il y aura toujours des objectifs à atteindre.”
Lundi, deux personnes (Vanier Les-Rivières et Richmond) ont retiré leur candidature, et Mme Anglade a été forcée de se séparer de sa directrice de recherche, Julie White, afin que cette dernière puisse jouer le rôle de candidate dans le comté de Jean-Talon.
Les libéraux ont aussi des problèmes avec leur candidat dans Vachon et Charlesbourg.
Mme Anglade ne regrette pas d’avoir commencé sa campagne au Québec sans y avoir tous ses candidats, où elle est à 6 % dans les sondages. Elle assure qu’il n’y a aucun problème de constance au cœur de sa formation.
Pourtant, depuis le début du marathon électoral, la dirigeante n’a eu de cesse de réagir et de défendre des candidats qui tiennent des propos surprenants qui contredisent sa vision.
Dimanche, le candidat de l’Acadie André A. Morin a déclaré que le déclin du français n’est pas préoccupant car il existe suffisamment de mesures au Québec pour assurer sa survie.
Lundi, le candidat de Jean-Lesage, Charles Robert, a déclaré que la langue parlée à la maison “n’est pas un bon indicateur” du déclin du français.
Mardi, le candidat de la Côte-du-Sud a dit vouloir un troisième lien à l’Île d’Orléans.
“Le message est très clair par rapport à la langue française, par rapport au tram”, a-t-elle redit, ne craignant pas que les problèmes auxquels son parti est confronté depuis le début de la campagne ne déteint sur elle.
title: “Dominique Anglade Est Ralentie Par D Autres Tuiles Klmat” ShowToc: true date: “2022-12-10” author: “Leslie Sullivan”
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“Nous jouons de manière agressive”, a déclaré le chef mercredi matin.
Pourtant, la quatrième journée de campagne électorale de Dominique Anglade a commencé de la même manière qu’elle s’est terminée hier… en se battant avec des pièges.
Il devait d’abord défendre la position dans le 3e maillon du candidat Sylvain Lemieux dans Côte-du-Sud. Ce dernier a indiqué à notre Bureau parlementaire qu’il « ne pouvait être contre » le projet de pont et d’autoroute de l’île d’Orléans proposé par le Parti conservateur du Québec. “C’est peut-être plus écologique de construire un pont que de démolir beaucoup d’appartements [pour un tunnel]. Et je regarde aussi le coût. À la hauteur de l’île d’Orléans, il y a des traverses d’Hydro-Québec », a-t-il dit, s’interrogeant sur la pertinence du tramway au Québec.
Écoutez quotidiennement l’émission éditoriale de Yasmine Abdelfadel en direct sur QUB Radio :
Mme Anglade croit que son candidat a encore sa place dans son éducation.
“Je ne suis certainement pas celle qui fait taire les candidats”, a-t-elle déclaré, en marge de son annonce sur les programmes gratuits d’écoles spécialisées.
“En revanche, nous sommes tous d’accord sur une chose, nous avons besoin d’études avant de pouvoir dire comment nous comptons voir un 3ème lien.”
Or, en janvier dernier, la chef du Parti libéral du Québec, Dominique Anglade, annonçait qu’elle tournait définitivement le dos au projet du troisième lien.
Puis, la semaine dernière, il a ouvert la porte d’un tunnel sous le fleuve pour le projet de tramway Québec-Lévis, qualifiant le 3e lien CAQ de «trou dans le fleuve» de plusieurs milliards de dollars.
«Notre plan est clair, un tramway est-ouest et un tramway nord-sud qui va jusqu’à Lévis», a-t-il dit, assurant qu’il n’était pas en désaccord avec ses candidats et les combattants libéraux de la Rive-Sud de Québec.
Puis un autre concurrent, cette fois à Mégantic, a abandonné. “Encore une fois, il y a beaucoup de raisons personnelles… La politique est un sport extrême”, a-t-il déclaré. Ratiba Fares serait parti pour des raisons professionnelles.
Depuis dimanche, l’absence de candidat dans plusieurs circonscriptions assombrit la campagne de Mme Anglade.
« Écoutez, dans les candidatures, nous aurons 125 candidats. Il y a eu des cas précis où il y avait des personnes précises, pour des raisons personnelles [qui ont] faire une croix [sur la campagne]”, a-t-il répété mercredi matin.
Il y a actuellement 109 candidats dans les rangs des libéraux.
L’organisation libérale, longtemps reconnue comme l’une des mieux huilées, semble avoir du mal à démarrer. D’anciens élus et organisateurs de la formation ont fait valoir que le parti avait longtemps délaissé l’organisation militante.
« Quand je suis devenu le chef de notre parti politique, je ne pensais pas que ce serait facile. Il y avait beaucoup de renouveau à faire et à mettre en avant. Mais je suis très fier de l’équipe que nous avons aujourd’hui”, a-t-il déclaré. “Il y aura toujours des objectifs à atteindre.”
Lundi, deux personnes (Vanier Les-Rivières et Richmond) ont retiré leur candidature, et Mme Anglade a été forcée de se séparer de sa directrice de recherche, Julie White, afin que cette dernière puisse jouer le rôle de candidate dans le comté de Jean-Talon.
Les libéraux ont aussi des problèmes avec leur candidat dans Vachon et Charlesbourg.
Mme Anglade ne regrette pas d’avoir commencé sa campagne au Québec sans y avoir tous ses candidats, où elle est à 6 % dans les sondages. Elle assure qu’il n’y a aucun problème de constance au cœur de sa formation.
Pourtant, depuis le début du marathon électoral, la dirigeante n’a eu de cesse de réagir et de défendre des candidats qui tiennent des propos surprenants qui contredisent sa vision.
Dimanche, le candidat de l’Acadie André A. Morin a déclaré que le déclin du français n’est pas préoccupant car il existe suffisamment de mesures au Québec pour assurer sa survie.
Lundi, le candidat de Jean-Lesage, Charles Robert, a déclaré que la langue parlée à la maison “n’est pas un bon indicateur” du déclin du français.
Mardi, le candidat de la Côte-du-Sud a dit vouloir un troisième lien à l’Île d’Orléans.
“Le message est très clair par rapport à la langue française, par rapport au tram”, a-t-elle redit, ne craignant pas que les problèmes auxquels son parti est confronté depuis le début de la campagne ne déteint sur elle.
title: “Dominique Anglade Est Ralentie Par D Autres Tuiles Klmat” ShowToc: true date: “2022-10-29” author: “Daniel Dalton”
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“Nous jouons de manière agressive”, a déclaré le chef mercredi matin.
Pourtant, la quatrième journée de campagne électorale de Dominique Anglade a commencé de la même manière qu’elle s’est terminée hier… en se battant avec des pièges.
Il devait d’abord défendre la position dans le 3e maillon du candidat Sylvain Lemieux dans Côte-du-Sud. Ce dernier a indiqué à notre Bureau parlementaire qu’il « ne pouvait être contre » le projet de pont et d’autoroute de l’île d’Orléans proposé par le Parti conservateur du Québec. “C’est peut-être plus écologique de construire un pont que de démolir beaucoup d’appartements [pour un tunnel]. Et je regarde aussi le coût. À la hauteur de l’île d’Orléans, il y a des traverses d’Hydro-Québec », a-t-il dit, s’interrogeant sur la pertinence du tramway au Québec.
Écoutez quotidiennement l’émission éditoriale de Yasmine Abdelfadel en direct sur QUB Radio :
Mme Anglade croit que son candidat a encore sa place dans son éducation.
“Je ne suis certainement pas celle qui fait taire les candidats”, a-t-elle déclaré, en marge de son annonce sur les programmes gratuits d’écoles spécialisées.
“En revanche, nous sommes tous d’accord sur une chose, nous avons besoin d’études avant de pouvoir dire comment nous comptons voir un 3ème lien.”
Or, en janvier dernier, la chef du Parti libéral du Québec, Dominique Anglade, annonçait qu’elle tournait définitivement le dos au projet du troisième lien.
Puis, la semaine dernière, il a ouvert la porte d’un tunnel sous le fleuve pour le projet de tramway Québec-Lévis, qualifiant le 3e lien CAQ de «trou dans le fleuve» de plusieurs milliards de dollars.
«Notre plan est clair, un tramway est-ouest et un tramway nord-sud qui va jusqu’à Lévis», a-t-il dit, assurant qu’il n’était pas en désaccord avec ses candidats et les combattants libéraux de la Rive-Sud de Québec.
Puis un autre concurrent, cette fois à Mégantic, a abandonné. “Encore une fois, il y a beaucoup de raisons personnelles… La politique est un sport extrême”, a-t-il déclaré. Ratiba Fares serait parti pour des raisons professionnelles.
Depuis dimanche, l’absence de candidat dans plusieurs circonscriptions assombrit la campagne de Mme Anglade.
« Écoutez, dans les candidatures, nous aurons 125 candidats. Il y a eu des cas précis où il y avait des personnes précises, pour des raisons personnelles [qui ont] faire une croix [sur la campagne]”, a-t-il répété mercredi matin.
Il y a actuellement 109 candidats dans les rangs des libéraux.
L’organisation libérale, longtemps reconnue comme l’une des mieux huilées, semble avoir du mal à démarrer. D’anciens élus et organisateurs de la formation ont fait valoir que le parti avait longtemps délaissé l’organisation militante.
« Quand je suis devenu le chef de notre parti politique, je ne pensais pas que ce serait facile. Il y avait beaucoup de renouveau à faire et à mettre en avant. Mais je suis très fier de l’équipe que nous avons aujourd’hui”, a-t-il déclaré. “Il y aura toujours des objectifs à atteindre.”
Lundi, deux personnes (Vanier Les-Rivières et Richmond) ont retiré leur candidature, et Mme Anglade a été forcée de se séparer de sa directrice de recherche, Julie White, afin que cette dernière puisse jouer le rôle de candidate dans le comté de Jean-Talon.
Les libéraux ont aussi des problèmes avec leur candidat dans Vachon et Charlesbourg.
Mme Anglade ne regrette pas d’avoir commencé sa campagne au Québec sans y avoir tous ses candidats, où elle est à 6 % dans les sondages. Elle assure qu’il n’y a aucun problème de constance au cœur de sa formation.
Pourtant, depuis le début du marathon électoral, la dirigeante n’a eu de cesse de réagir et de défendre des candidats qui tiennent des propos surprenants qui contredisent sa vision.
Dimanche, le candidat de l’Acadie André A. Morin a déclaré que le déclin du français n’est pas préoccupant car il existe suffisamment de mesures au Québec pour assurer sa survie.
Lundi, le candidat de Jean-Lesage, Charles Robert, a déclaré que la langue parlée à la maison “n’est pas un bon indicateur” du déclin du français.
Mardi, le candidat de la Côte-du-Sud a dit vouloir un troisième lien à l’Île d’Orléans.
“Le message est très clair par rapport à la langue française, par rapport au tram”, a-t-elle redit, ne craignant pas que les problèmes auxquels son parti est confronté depuis le début de la campagne ne déteint sur elle.
title: “Dominique Anglade Est Ralentie Par D Autres Tuiles Klmat” ShowToc: true date: “2022-11-01” author: “Eric Henkel”
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“Nous jouons de manière agressive”, a déclaré le chef mercredi matin.
Pourtant, la quatrième journée de campagne électorale de Dominique Anglade a commencé de la même manière qu’elle s’est terminée hier… en se battant avec des pièges.
Il devait d’abord défendre la position dans le 3e maillon du candidat Sylvain Lemieux dans Côte-du-Sud. Ce dernier a indiqué à notre Bureau parlementaire qu’il « ne pouvait être contre » le projet de pont et d’autoroute de l’île d’Orléans proposé par le Parti conservateur du Québec. “C’est peut-être plus écologique de construire un pont que de démolir beaucoup d’appartements [pour un tunnel]. Et je regarde aussi le coût. À la hauteur de l’île d’Orléans, il y a des traverses d’Hydro-Québec », a-t-il dit, s’interrogeant sur la pertinence du tramway au Québec.
Écoutez quotidiennement l’émission éditoriale de Yasmine Abdelfadel en direct sur QUB Radio :
Mme Anglade croit que son candidat a encore sa place dans son éducation.
“Je ne suis certainement pas celle qui fait taire les candidats”, a-t-elle déclaré, en marge de son annonce sur les programmes gratuits d’écoles spécialisées.
“En revanche, nous sommes tous d’accord sur une chose, nous avons besoin d’études avant de pouvoir dire comment nous comptons voir un 3ème lien.”
Or, en janvier dernier, la chef du Parti libéral du Québec, Dominique Anglade, annonçait qu’elle tournait définitivement le dos au projet du troisième lien.
Puis, la semaine dernière, il a ouvert la porte d’un tunnel sous le fleuve pour le projet de tramway Québec-Lévis, qualifiant le 3e lien CAQ de «trou dans le fleuve» de plusieurs milliards de dollars.
«Notre plan est clair, un tramway est-ouest et un tramway nord-sud qui va jusqu’à Lévis», a-t-il dit, assurant qu’il n’était pas en désaccord avec ses candidats et les combattants libéraux de la Rive-Sud de Québec.
Puis un autre concurrent, cette fois à Mégantic, a abandonné. “Encore une fois, il y a beaucoup de raisons personnelles… La politique est un sport extrême”, a-t-il déclaré. Ratiba Fares serait parti pour des raisons professionnelles.
Depuis dimanche, l’absence de candidat dans plusieurs circonscriptions assombrit la campagne de Mme Anglade.
« Écoutez, dans les candidatures, nous aurons 125 candidats. Il y a eu des cas précis où il y avait des personnes précises, pour des raisons personnelles [qui ont] faire une croix [sur la campagne]”, a-t-il répété mercredi matin.
Il y a actuellement 109 candidats dans les rangs des libéraux.
L’organisation libérale, longtemps reconnue comme l’une des mieux huilées, semble avoir du mal à démarrer. D’anciens élus et organisateurs de la formation ont fait valoir que le parti avait longtemps délaissé l’organisation militante.
« Quand je suis devenu le chef de notre parti politique, je ne pensais pas que ce serait facile. Il y avait beaucoup de renouveau à faire et à mettre en avant. Mais je suis très fier de l’équipe que nous avons aujourd’hui”, a-t-il déclaré. “Il y aura toujours des objectifs à atteindre.”
Lundi, deux personnes (Vanier Les-Rivières et Richmond) ont retiré leur candidature, et Mme Anglade a été forcée de se séparer de sa directrice de recherche, Julie White, afin que cette dernière puisse jouer le rôle de candidate dans le comté de Jean-Talon.
Les libéraux ont aussi des problèmes avec leur candidat dans Vachon et Charlesbourg.
Mme Anglade ne regrette pas d’avoir commencé sa campagne au Québec sans y avoir tous ses candidats, où elle est à 6 % dans les sondages. Elle assure qu’il n’y a aucun problème de constance au cœur de sa formation.
Pourtant, depuis le début du marathon électoral, la dirigeante n’a eu de cesse de réagir et de défendre des candidats qui tiennent des propos surprenants qui contredisent sa vision.
Dimanche, le candidat de l’Acadie André A. Morin a déclaré que le déclin du français n’est pas préoccupant car il existe suffisamment de mesures au Québec pour assurer sa survie.
Lundi, le candidat de Jean-Lesage, Charles Robert, a déclaré que la langue parlée à la maison “n’est pas un bon indicateur” du déclin du français.
Mardi, le candidat de la Côte-du-Sud a dit vouloir un troisième lien à l’Île d’Orléans.
“Le message est très clair par rapport à la langue française, par rapport au tram”, a-t-elle redit, ne craignant pas que les problèmes auxquels son parti est confronté depuis le début de la campagne ne déteint sur elle.