Ce texte sera appliqué sous le vent de deux fausses croyances. La première est que cette nouvelle loi s’appliquera aux dons effectués dans le passé. Toutefois, selon l’article 2 du Code civil, elle “n’aura pas d’effet rétroactif”. L’identité des personnes ayant donné leur sperme ou leurs ovules avant le 1er septembre 2022 restera confidentielle, sauf si elles décident par la suite de partager leur identité et des informations non identifiantes de leur propre initiative ou si elles acceptent leur demande de dons.
Lire aussi PMA, GPA, accès à la provenance… Ce que la loi de bioéthique change (ou pas) en dix situations
La deuxième fausse croyance est que les donneurs devront désormais rencontrer des personnes conçues grâce à leur don : ils resteront libres, s’ils le souhaitent, de refuser tout contact. Ce que la loi garantit, c’est le droit d’accéder à l’ascendance, pas le droit de rencontrer le donneur.
Sinon, les dons n’ont pas diminué
Deux raisons principales ont été données par ceux qui militent contre la suppression de l’anonymat – qui, encore une fois, sont fausses. Pour les praticiens de la procréation médicalement assistée (PMA) et de la collecte de dons de gamètes, le secret avait l’avantage d’inciter à donner : ils s’attendaient donc, une fois la loi modifiée, à une baisse significative du nombre de dons. On savait pourtant, lors du débat, qu’en Suède, en Australie, en Finlande ou au Royaume-Uni, qui ont connu la même évolution législative, le nombre de dons a non seulement augmenté, mais aussi dépassé le niveau initial. C’est ce que montrent les résultats des recherches sur le sujet évoquées dans l’étude d’impact du projet de loi bioéthique de l’Assemblée nationale. En effet, il y avait eu une baisse du nombre de dons en Suède après la levée de l’identité des donateurs, mais celle-ci fut de courte durée – et c’était en 1985, une autre époque ! Il vous reste 57,08% de cet article à lire. Ce qui suit est réservé aux abonnés.
title: " En D Sanonymisant Les Dons De Gam Tes La France Accorde Enfin Aux Donneurs La Place Qu Ils M Ritent Klmat" ShowToc: true date: “2022-11-27” author: “Johnny Davis”
Ce texte sera appliqué sous le vent de deux fausses croyances. La première est que cette nouvelle loi s’appliquera aux dons effectués dans le passé. Toutefois, selon l’article 2 du Code civil, elle “n’aura pas d’effet rétroactif”. L’identité des personnes ayant donné leur sperme ou leurs ovules avant le 1er septembre 2022 restera confidentielle, sauf si elles décident par la suite de partager leur identité et des informations non identifiantes de leur propre initiative ou si elles acceptent leur demande de dons.
Lire aussi PMA, GPA, accès à la provenance… Ce que la loi de bioéthique change (ou pas) en dix situations
La deuxième fausse croyance est que les donneurs devront désormais rencontrer des personnes conçues grâce à leur don : ils resteront libres, s’ils le souhaitent, de refuser tout contact. Ce que la loi garantit, c’est le droit d’accéder à l’ascendance, pas le droit de rencontrer le donneur.
Sinon, les dons n’ont pas diminué
Deux raisons principales ont été données par ceux qui militent contre la suppression de l’anonymat – qui, encore une fois, sont fausses. Pour les praticiens de la procréation médicalement assistée (PMA) et de la collecte de dons de gamètes, le secret avait l’avantage d’inciter à donner : ils s’attendaient donc, une fois la loi modifiée, à une baisse significative du nombre de dons. On savait pourtant, lors du débat, qu’en Suède, en Australie, en Finlande ou au Royaume-Uni, qui ont connu la même évolution législative, le nombre de dons a non seulement augmenté, mais aussi dépassé le niveau initial. C’est ce que montrent les résultats des recherches sur le sujet évoquées dans l’étude d’impact du projet de loi bioéthique de l’Assemblée nationale. En effet, il y avait eu une baisse du nombre de dons en Suède après la levée de l’identité des donateurs, mais celle-ci fut de courte durée – et c’était en 1985, une autre époque ! Il vous reste 57,08% de cet article à lire. Ce qui suit est réservé aux abonnés.
title: " En D Sanonymisant Les Dons De Gam Tes La France Accorde Enfin Aux Donneurs La Place Qu Ils M Ritent Klmat" ShowToc: true date: “2022-11-02” author: “John Guido”
Ce texte sera appliqué sous le vent de deux fausses croyances. La première est que cette nouvelle loi s’appliquera aux dons effectués dans le passé. Toutefois, selon l’article 2 du Code civil, elle “n’aura pas d’effet rétroactif”. L’identité des personnes ayant donné leur sperme ou leurs ovules avant le 1er septembre 2022 restera confidentielle, sauf si elles décident par la suite de partager leur identité et des informations non identifiantes de leur propre initiative ou si elles acceptent leur demande de dons.
Lire aussi PMA, GPA, accès à la provenance… Ce que la loi de bioéthique change (ou pas) en dix situations
La deuxième fausse croyance est que les donneurs devront désormais rencontrer des personnes conçues grâce à leur don : ils resteront libres, s’ils le souhaitent, de refuser tout contact. Ce que la loi garantit, c’est le droit d’accéder à l’ascendance, pas le droit de rencontrer le donneur.
Sinon, les dons n’ont pas diminué
Deux raisons principales ont été données par ceux qui militent contre la suppression de l’anonymat – qui, encore une fois, sont fausses. Pour les praticiens de la procréation médicalement assistée (PMA) et de la collecte de dons de gamètes, le secret avait l’avantage d’inciter à donner : ils s’attendaient donc, une fois la loi modifiée, à une baisse significative du nombre de dons. On savait pourtant, lors du débat, qu’en Suède, en Australie, en Finlande ou au Royaume-Uni, qui ont connu la même évolution législative, le nombre de dons a non seulement augmenté, mais aussi dépassé le niveau initial. C’est ce que montrent les résultats des recherches sur le sujet évoquées dans l’étude d’impact du projet de loi bioéthique de l’Assemblée nationale. En effet, il y avait eu une baisse du nombre de dons en Suède après la levée de l’identité des donateurs, mais celle-ci fut de courte durée – et c’était en 1985, une autre époque ! Il vous reste 57,08% de cet article à lire. Ce qui suit est réservé aux abonnés.
title: " En D Sanonymisant Les Dons De Gam Tes La France Accorde Enfin Aux Donneurs La Place Qu Ils M Ritent Klmat" ShowToc: true date: “2022-12-17” author: “Sonja Ramsey”
Ce texte sera appliqué sous le vent de deux fausses croyances. La première est que cette nouvelle loi s’appliquera aux dons effectués dans le passé. Toutefois, selon l’article 2 du Code civil, elle “n’aura pas d’effet rétroactif”. L’identité des personnes ayant donné leur sperme ou leurs ovules avant le 1er septembre 2022 restera confidentielle, sauf si elles décident par la suite de partager leur identité et des informations non identifiantes de leur propre initiative ou si elles acceptent leur demande de dons.
Lire aussi PMA, GPA, accès à la provenance… Ce que la loi de bioéthique change (ou pas) en dix situations
La deuxième fausse croyance est que les donneurs devront désormais rencontrer des personnes conçues grâce à leur don : ils resteront libres, s’ils le souhaitent, de refuser tout contact. Ce que la loi garantit, c’est le droit d’accéder à l’ascendance, pas le droit de rencontrer le donneur.
Sinon, les dons n’ont pas diminué
Deux raisons principales ont été données par ceux qui militent contre la suppression de l’anonymat – qui, encore une fois, sont fausses. Pour les praticiens de la procréation médicalement assistée (PMA) et de la collecte de dons de gamètes, le secret avait l’avantage d’inciter à donner : ils s’attendaient donc, une fois la loi modifiée, à une baisse significative du nombre de dons. On savait pourtant, lors du débat, qu’en Suède, en Australie, en Finlande ou au Royaume-Uni, qui ont connu la même évolution législative, le nombre de dons a non seulement augmenté, mais aussi dépassé le niveau initial. C’est ce que montrent les résultats des recherches sur le sujet évoquées dans l’étude d’impact du projet de loi bioéthique de l’Assemblée nationale. En effet, il y avait eu une baisse du nombre de dons en Suède après la levée de l’identité des donateurs, mais celle-ci fut de courte durée – et c’était en 1985, une autre époque ! Il vous reste 57,08% de cet article à lire. Ce qui suit est réservé aux abonnés.