La famille d’un résident d’un CHSLD de Montréal faisant l’objet d’une enquête pour de possibles maltraitances réclame le déplacement rapide de leur proche, alléguant de graves lacunes dans les soins depuis des mois. • À lire aussi : Granby : les abus dans un CHSLD persistent malgré un signalement accablant • À lire aussi : Québec investit 50 millions de dollars pour lutter contre la maltraitance des aînés “On veut juste de la dignité, ça n’a plus de sens”, fulmine Brigitte Lavoie, dont la soeur Sophie, qui a une déficience intellectuelle, vit à la résidence des Floralies à Lasalle depuis près de deux ans. Plaintes, rencontres avec le personnel et les travailleurs sociaux, photos encourageantes, mais rien ne change, s’énerve Mme Lavoie. Lorsqu’elle rend visite à sa sœur, elle trouve des matières fécales sur son lit ou sa couche est souillée. Sa sœur porte des vêtements qui ne sont pas les siens, dit-elle. Elle a aussi trouvé ses pieds noirs, tellement ils étaient sales. Mais le pire, c’est une blessure aux fesses qui n’a pas cicatrisé depuis plus d’un an, se plaint Mme Lavoie. Enquête en cours La semaine dernière, TVA Nouvelles dévoilait l’ouverture d’une enquête sur les résidences des Floralies de LaSalle et de Lachine. « Le CIUSSS de l’Ouest-de-l’Île-de-Montréal souhaite vous informer d’une mise à jour de son suivi […] Cette surveillance accrue touche particulièrement la qualité et la sécurité des soins de santé offerts aux aînés qui y résident », selon une lettre envoyée aux proches. “Au cours des derniers mois, les visites d’évaluation ont soulevé un certain nombre d’inquiétudes quant à la conformité des soins et des services fournis aux clients”, poursuit la lettre. Les importations en provenance du CIUSSS sont également suspendues et un rapport est attendu en octobre. Selon Mme Lavoie, sa soeur devrait être dans une ressource intermédiaire, un milieu de vie pour personnes en perte d’autonomie, mais vu l’attente, elle s’est fait attribuer une place dans cette résidence privée par le CIUSSS. Le propriétaire des lieux n’a pas rappelé hier Le Journal. “Ma sœur ne se plaindra jamais”, souffle Mme Lavoie, qui se bat pour qu’elle soit mieux soignée. Elle regrette que le personnel ne vérifie pas davantage ses blessures ou sa couche, par exemple. Elle fond en larmes en pensant à ce que vit sa sœur, qui est sur le point d’avoir 50 ans. Avez-vous des informations à partager avec nous sur cette histoire ? Vous avez un scoop qui pourrait intéresser nos lecteurs ? Écrivez-nous ou appelez-nous directement au 1 800-63SCOOP.
title: “Abus Au Chsld Floralies De Lasalle Une Famille Veut D M Nager Un Proche Au Plus Vite Klmat” ShowToc: true date: “2022-12-06” author: “Matthew Brown”
La famille d’un résident d’un CHSLD de Montréal faisant l’objet d’une enquête pour de possibles maltraitances réclame le déplacement rapide de leur proche, alléguant de graves lacunes dans les soins depuis des mois. • À lire aussi : Granby : les abus dans un CHSLD persistent malgré un signalement accablant • À lire aussi : Québec investit 50 millions de dollars pour lutter contre la maltraitance des aînés “On veut juste de la dignité, ça n’a plus de sens”, fulmine Brigitte Lavoie, dont la soeur Sophie, qui a une déficience intellectuelle, vit à la résidence des Floralies à Lasalle depuis près de deux ans. Plaintes, rencontres avec le personnel et les travailleurs sociaux, photos encourageantes, mais rien ne change, s’énerve Mme Lavoie. Lorsqu’elle rend visite à sa sœur, elle trouve des matières fécales sur son lit ou sa couche est souillée. Sa sœur porte des vêtements qui ne sont pas les siens, dit-elle. Elle a aussi trouvé ses pieds noirs, tellement ils étaient sales. Mais le pire, c’est une blessure aux fesses qui n’a pas cicatrisé depuis plus d’un an, se plaint Mme Lavoie. Enquête en cours La semaine dernière, TVA Nouvelles dévoilait l’ouverture d’une enquête sur les résidences des Floralies de LaSalle et de Lachine. « Le CIUSSS de l’Ouest-de-l’Île-de-Montréal souhaite vous informer d’une mise à jour de son suivi […] Cette surveillance accrue touche particulièrement la qualité et la sécurité des soins de santé offerts aux aînés qui y résident », selon une lettre envoyée aux proches. “Au cours des derniers mois, les visites d’évaluation ont soulevé un certain nombre d’inquiétudes quant à la conformité des soins et des services fournis aux clients”, poursuit la lettre. Les importations en provenance du CIUSSS sont également suspendues et un rapport est attendu en octobre. Selon Mme Lavoie, sa soeur devrait être dans une ressource intermédiaire, un milieu de vie pour personnes en perte d’autonomie, mais vu l’attente, elle s’est fait attribuer une place dans cette résidence privée par le CIUSSS. Le propriétaire des lieux n’a pas rappelé hier Le Journal. “Ma sœur ne se plaindra jamais”, souffle Mme Lavoie, qui se bat pour qu’elle soit mieux soignée. Elle regrette que le personnel ne vérifie pas davantage ses blessures ou sa couche, par exemple. Elle fond en larmes en pensant à ce que vit sa sœur, qui est sur le point d’avoir 50 ans. Avez-vous des informations à partager avec nous sur cette histoire ? Vous avez un scoop qui pourrait intéresser nos lecteurs ? Écrivez-nous ou appelez-nous directement au 1 800-63SCOOP.
title: “Abus Au Chsld Floralies De Lasalle Une Famille Veut D M Nager Un Proche Au Plus Vite Klmat” ShowToc: true date: “2022-12-15” author: “Rick Blanco”
La famille d’un résident d’un CHSLD de Montréal faisant l’objet d’une enquête pour de possibles maltraitances réclame le déplacement rapide de leur proche, alléguant de graves lacunes dans les soins depuis des mois. • À lire aussi : Granby : les abus dans un CHSLD persistent malgré un signalement accablant • À lire aussi : Québec investit 50 millions de dollars pour lutter contre la maltraitance des aînés “On veut juste de la dignité, ça n’a plus de sens”, fulmine Brigitte Lavoie, dont la soeur Sophie, qui a une déficience intellectuelle, vit à la résidence des Floralies à Lasalle depuis près de deux ans. Plaintes, rencontres avec le personnel et les travailleurs sociaux, photos encourageantes, mais rien ne change, s’énerve Mme Lavoie. Lorsqu’elle rend visite à sa sœur, elle trouve des matières fécales sur son lit ou sa couche est souillée. Sa sœur porte des vêtements qui ne sont pas les siens, dit-elle. Elle a aussi trouvé ses pieds noirs, tellement ils étaient sales. Mais le pire, c’est une blessure aux fesses qui n’a pas cicatrisé depuis plus d’un an, se plaint Mme Lavoie. Enquête en cours La semaine dernière, TVA Nouvelles dévoilait l’ouverture d’une enquête sur les résidences des Floralies de LaSalle et de Lachine. « Le CIUSSS de l’Ouest-de-l’Île-de-Montréal souhaite vous informer d’une mise à jour de son suivi […] Cette surveillance accrue touche particulièrement la qualité et la sécurité des soins de santé offerts aux aînés qui y résident », selon une lettre envoyée aux proches. “Au cours des derniers mois, les visites d’évaluation ont soulevé un certain nombre d’inquiétudes quant à la conformité des soins et des services fournis aux clients”, poursuit la lettre. Les importations en provenance du CIUSSS sont également suspendues et un rapport est attendu en octobre. Selon Mme Lavoie, sa soeur devrait être dans une ressource intermédiaire, un milieu de vie pour personnes en perte d’autonomie, mais vu l’attente, elle s’est fait attribuer une place dans cette résidence privée par le CIUSSS. Le propriétaire des lieux n’a pas rappelé hier Le Journal. “Ma sœur ne se plaindra jamais”, souffle Mme Lavoie, qui se bat pour qu’elle soit mieux soignée. Elle regrette que le personnel ne vérifie pas davantage ses blessures ou sa couche, par exemple. Elle fond en larmes en pensant à ce que vit sa sœur, qui est sur le point d’avoir 50 ans. Avez-vous des informations à partager avec nous sur cette histoire ? Vous avez un scoop qui pourrait intéresser nos lecteurs ? Écrivez-nous ou appelez-nous directement au 1 800-63SCOOP.
title: “Abus Au Chsld Floralies De Lasalle Une Famille Veut D M Nager Un Proche Au Plus Vite Klmat” ShowToc: true date: “2022-11-27” author: “Michael Chin”
La famille d’un résident d’un CHSLD de Montréal faisant l’objet d’une enquête pour de possibles maltraitances réclame le déplacement rapide de leur proche, alléguant de graves lacunes dans les soins depuis des mois. • À lire aussi : Granby : les abus dans un CHSLD persistent malgré un signalement accablant • À lire aussi : Québec investit 50 millions de dollars pour lutter contre la maltraitance des aînés “On veut juste de la dignité, ça n’a plus de sens”, fulmine Brigitte Lavoie, dont la soeur Sophie, qui a une déficience intellectuelle, vit à la résidence des Floralies à Lasalle depuis près de deux ans. Plaintes, rencontres avec le personnel et les travailleurs sociaux, photos encourageantes, mais rien ne change, s’énerve Mme Lavoie. Lorsqu’elle rend visite à sa sœur, elle trouve des matières fécales sur son lit ou sa couche est souillée. Sa sœur porte des vêtements qui ne sont pas les siens, dit-elle. Elle a aussi trouvé ses pieds noirs, tellement ils étaient sales. Mais le pire, c’est une blessure aux fesses qui n’a pas cicatrisé depuis plus d’un an, se plaint Mme Lavoie. Enquête en cours La semaine dernière, TVA Nouvelles dévoilait l’ouverture d’une enquête sur les résidences des Floralies de LaSalle et de Lachine. « Le CIUSSS de l’Ouest-de-l’Île-de-Montréal souhaite vous informer d’une mise à jour de son suivi […] Cette surveillance accrue touche particulièrement la qualité et la sécurité des soins de santé offerts aux aînés qui y résident », selon une lettre envoyée aux proches. “Au cours des derniers mois, les visites d’évaluation ont soulevé un certain nombre d’inquiétudes quant à la conformité des soins et des services fournis aux clients”, poursuit la lettre. Les importations en provenance du CIUSSS sont également suspendues et un rapport est attendu en octobre. Selon Mme Lavoie, sa soeur devrait être dans une ressource intermédiaire, un milieu de vie pour personnes en perte d’autonomie, mais vu l’attente, elle s’est fait attribuer une place dans cette résidence privée par le CIUSSS. Le propriétaire des lieux n’a pas rappelé hier Le Journal. “Ma sœur ne se plaindra jamais”, souffle Mme Lavoie, qui se bat pour qu’elle soit mieux soignée. Elle regrette que le personnel ne vérifie pas davantage ses blessures ou sa couche, par exemple. Elle fond en larmes en pensant à ce que vit sa sœur, qui est sur le point d’avoir 50 ans. Avez-vous des informations à partager avec nous sur cette histoire ? Vous avez un scoop qui pourrait intéresser nos lecteurs ? Écrivez-nous ou appelez-nous directement au 1 800-63SCOOP.