«Il faut porter trois ou quatre masques pour entrer dans la maison, ça sent tellement mauvais», se plaint Josée Craig, une résidente d’Oka qui vient en aide aux animaux en danger de son secteur. La semaine dernière, elle a vu un message sur les réseaux sociaux d’un résident qui affirmait que la maison voisine de la sienne était abandonnée et qu’il y avait des chats à l’intérieur. Cette maison appartient à l’avocate Louise Harbour, qui demeure en Montérégie. Craignant pour le sort des bêtes, Mme Craig a décidé d’enquêter. Ce qu’elle y a trouvé l’a rendue malade : près de 20 chats y étaient enfermés et des excréments jonchaient le sol, a-t-elle déclaré au Journal. Selon l’agent financier du Kanesatake Complex Council, il y avait de la nourriture pour chat mais pas d’eau dans la maison. « Comment les chats peuvent-ils survivre là-dedans ? » il se plaint. Image gentille
La litière laissée dans la salle de bain ne suffisait apparemment plus aux besoins des chats.
Enquête SPCA Au courant de la situation la semaine dernière, la SPCA de Montréal a indiqué au Journal qu’elle avait lancé une enquête. Chantal Cayer, directrice du bureau d’enquête de la SPCA de Montréal, a indiqué que le propriétaire « fait face à des accusations au niveau du ministère de l’Agriculture, des Pêcheries et de l’Alimentation du Québec (MAPAQ) ». Selon la Loi sur le bien-être et la sécurité des animaux du Québec, le propriétaire doit garder son animal dans un « endroit salubre, propre et convenable ». La ville d’Oka a effectué une inspection sur place la semaine dernière, a confirmé le maire Pascal Quevillon. “En ce qui concerne l’entretien du bâtiment, il y a aussi des négligences pour l’hygiène. » Confrontée par Le Journal, la propriétaire de l’établissement, Louise Harbour, a confirmé que c’était elle qui avait mis “15 à 18 chats” à l’intérieur de la maison, mais que cela faisait partie d’une démarche pour les “sauver”. « Je fais du sauvetage (sauvetage d’animaux) avec des amis. […] Je fais ça depuis plus de 30 ans”, explique-t-il. Elle utilise cette maison pour garder des chats qu’elle amènera ensuite en Ontario, où les refuges accueillent plus d’animaux qu’au Québec, dit-elle. Photo par Olivier Faucher
La maison située sur la rue des Pins à Oka est inhabitée.
Conditions nuageuses Quant aux conditions insalubres, Mme Harbour affirme que quelqu’un est venu nourrir et abreuver le chat “tous les deux ou trois jours”, mais a refusé de dire de qui il s’agissait. “Je suis déçue que les gens n’aient pas pensé à changer le bac à litière”, a-t-elle déclaré. Mme Harbour a déclaré qu’elle avait l’intention de se conformer aux règlements municipaux et qu’elle sera sur le site dans les prochains jours. « Je ne mettrai plus de chats dans cette maison, oubliez ça ! il a dit. Avez-vous des informations à partager avec nous sur cette histoire ? Vous avez un scoop qui pourrait intéresser nos lecteurs ? Écrivez-nous ou appelez-nous directement au 1 800-63SCOOP.


title: “Conditions Insalubres Sauvez Des Chats Dans Une Maison Chaleureuse Klmat” ShowToc: true date: “2022-12-06” author: “Alison Armstrong”


«Il faut porter trois ou quatre masques pour entrer dans la maison, ça sent tellement mauvais», se plaint Josée Craig, une résidente d’Oka qui vient en aide aux animaux en danger de son secteur. La semaine dernière, elle a vu un message sur les réseaux sociaux d’un résident qui affirmait que la maison voisine de la sienne était abandonnée et qu’il y avait des chats à l’intérieur. Cette maison appartient à l’avocate Louise Harbour, qui demeure en Montérégie. Craignant pour le sort des bêtes, Mme Craig a décidé d’enquêter. Ce qu’elle y a trouvé l’a rendue malade : près de 20 chats y étaient enfermés et des excréments jonchaient le sol, a-t-elle déclaré au Journal. Selon l’agent financier du Kanesatake Complex Council, il y avait de la nourriture pour chat mais pas d’eau dans la maison. « Comment les chats peuvent-ils survivre là-dedans ? » il se plaint. Image gentille
La litière laissée dans la salle de bain ne suffisait apparemment plus aux besoins des chats.
Enquête SPCA Au courant de la situation la semaine dernière, la SPCA de Montréal a indiqué au Journal qu’elle avait lancé une enquête. Chantal Cayer, directrice du bureau d’enquête de la SPCA de Montréal, a indiqué que le propriétaire « fait face à des accusations au niveau du ministère de l’Agriculture, des Pêcheries et de l’Alimentation du Québec (MAPAQ) ». Selon la Loi sur le bien-être et la sécurité des animaux du Québec, le propriétaire doit garder son animal dans un « endroit salubre, propre et convenable ». La ville d’Oka a effectué une inspection sur place la semaine dernière, a confirmé le maire Pascal Quevillon. “En ce qui concerne l’entretien du bâtiment, il y a aussi des négligences pour l’hygiène. » Confrontée par Le Journal, la propriétaire de l’établissement, Louise Harbour, a confirmé que c’était elle qui avait mis “15 à 18 chats” à l’intérieur de la maison, mais que cela faisait partie d’une démarche pour les “sauver”. « Je fais du sauvetage (sauvetage d’animaux) avec des amis. […] Je fais ça depuis plus de 30 ans”, explique-t-il. Elle utilise cette maison pour garder des chats qu’elle amènera ensuite en Ontario, où les refuges accueillent plus d’animaux qu’au Québec, dit-elle. Photo par Olivier Faucher
La maison située sur la rue des Pins à Oka est inhabitée.
Conditions nuageuses Quant aux conditions insalubres, Mme Harbour affirme que quelqu’un est venu nourrir et abreuver le chat “tous les deux ou trois jours”, mais a refusé de dire de qui il s’agissait. “Je suis déçue que les gens n’aient pas pensé à changer le bac à litière”, a-t-elle déclaré. Mme Harbour a déclaré qu’elle avait l’intention de se conformer aux règlements municipaux et qu’elle sera sur le site dans les prochains jours. « Je ne mettrai plus de chats dans cette maison, oubliez ça ! il a dit. Avez-vous des informations à partager avec nous sur cette histoire ? Vous avez un scoop qui pourrait intéresser nos lecteurs ? Écrivez-nous ou appelez-nous directement au 1 800-63SCOOP.


title: “Conditions Insalubres Sauvez Des Chats Dans Une Maison Chaleureuse Klmat” ShowToc: true date: “2022-11-07” author: “Alexander Crouch”


«Il faut porter trois ou quatre masques pour entrer dans la maison, ça sent tellement mauvais», se plaint Josée Craig, une résidente d’Oka qui vient en aide aux animaux en danger de son secteur. La semaine dernière, elle a vu un message sur les réseaux sociaux d’un résident qui affirmait que la maison voisine de la sienne était abandonnée et qu’il y avait des chats à l’intérieur. Cette maison appartient à l’avocate Louise Harbour, qui demeure en Montérégie. Craignant pour le sort des bêtes, Mme Craig a décidé d’enquêter. Ce qu’elle y a trouvé l’a rendue malade : près de 20 chats y étaient enfermés et des excréments jonchaient le sol, a-t-elle déclaré au Journal. Selon l’agent financier du Kanesatake Complex Council, il y avait de la nourriture pour chat mais pas d’eau dans la maison. « Comment les chats peuvent-ils survivre là-dedans ? » il se plaint. Image gentille
La litière laissée dans la salle de bain ne suffisait apparemment plus aux besoins des chats.
Enquête SPCA Au courant de la situation la semaine dernière, la SPCA de Montréal a indiqué au Journal qu’elle avait lancé une enquête. Chantal Cayer, directrice du bureau d’enquête de la SPCA de Montréal, a indiqué que le propriétaire « fait face à des accusations au niveau du ministère de l’Agriculture, des Pêcheries et de l’Alimentation du Québec (MAPAQ) ». Selon la Loi sur le bien-être et la sécurité des animaux du Québec, le propriétaire doit garder son animal dans un « endroit salubre, propre et convenable ». La ville d’Oka a effectué une inspection sur place la semaine dernière, a confirmé le maire Pascal Quevillon. “En ce qui concerne l’entretien du bâtiment, il y a aussi des négligences pour l’hygiène. » Confrontée par Le Journal, la propriétaire de l’établissement, Louise Harbour, a confirmé que c’était elle qui avait mis “15 à 18 chats” à l’intérieur de la maison, mais que cela faisait partie d’une démarche pour les “sauver”. « Je fais du sauvetage (sauvetage d’animaux) avec des amis. […] Je fais ça depuis plus de 30 ans”, explique-t-il. Elle utilise cette maison pour garder des chats qu’elle amènera ensuite en Ontario, où les refuges accueillent plus d’animaux qu’au Québec, dit-elle. Photo par Olivier Faucher
La maison située sur la rue des Pins à Oka est inhabitée.
Conditions nuageuses Quant aux conditions insalubres, Mme Harbour affirme que quelqu’un est venu nourrir et abreuver le chat “tous les deux ou trois jours”, mais a refusé de dire de qui il s’agissait. “Je suis déçue que les gens n’aient pas pensé à changer le bac à litière”, a-t-elle déclaré. Mme Harbour a déclaré qu’elle avait l’intention de se conformer aux règlements municipaux et qu’elle sera sur le site dans les prochains jours. « Je ne mettrai plus de chats dans cette maison, oubliez ça ! il a dit. Avez-vous des informations à partager avec nous sur cette histoire ? Vous avez un scoop qui pourrait intéresser nos lecteurs ? Écrivez-nous ou appelez-nous directement au 1 800-63SCOOP.


title: “Conditions Insalubres Sauvez Des Chats Dans Une Maison Chaleureuse Klmat” ShowToc: true date: “2022-12-02” author: “Velma Black”


«Il faut porter trois ou quatre masques pour entrer dans la maison, ça sent tellement mauvais», se plaint Josée Craig, une résidente d’Oka qui vient en aide aux animaux en danger de son secteur. La semaine dernière, elle a vu un message sur les réseaux sociaux d’un résident qui affirmait que la maison voisine de la sienne était abandonnée et qu’il y avait des chats à l’intérieur. Cette maison appartient à l’avocate Louise Harbour, qui demeure en Montérégie. Craignant pour le sort des bêtes, Mme Craig a décidé d’enquêter. Ce qu’elle y a trouvé l’a rendue malade : près de 20 chats y étaient enfermés et des excréments jonchaient le sol, a-t-elle déclaré au Journal. Selon l’agent financier du Kanesatake Complex Council, il y avait de la nourriture pour chat mais pas d’eau dans la maison. « Comment les chats peuvent-ils survivre là-dedans ? » il se plaint. Image gentille
La litière laissée dans la salle de bain ne suffisait apparemment plus aux besoins des chats.
Enquête SPCA Au courant de la situation la semaine dernière, la SPCA de Montréal a indiqué au Journal qu’elle avait lancé une enquête. Chantal Cayer, directrice du bureau d’enquête de la SPCA de Montréal, a indiqué que le propriétaire « fait face à des accusations au niveau du ministère de l’Agriculture, des Pêcheries et de l’Alimentation du Québec (MAPAQ) ». Selon la Loi sur le bien-être et la sécurité des animaux du Québec, le propriétaire doit garder son animal dans un « endroit salubre, propre et convenable ». La ville d’Oka a effectué une inspection sur place la semaine dernière, a confirmé le maire Pascal Quevillon. “En ce qui concerne l’entretien du bâtiment, il y a aussi des négligences pour l’hygiène. » Confrontée par Le Journal, la propriétaire de l’établissement, Louise Harbour, a confirmé que c’était elle qui avait mis “15 à 18 chats” à l’intérieur de la maison, mais que cela faisait partie d’une démarche pour les “sauver”. « Je fais du sauvetage (sauvetage d’animaux) avec des amis. […] Je fais ça depuis plus de 30 ans”, explique-t-il. Elle utilise cette maison pour garder des chats qu’elle amènera ensuite en Ontario, où les refuges accueillent plus d’animaux qu’au Québec, dit-elle. Photo par Olivier Faucher
La maison située sur la rue des Pins à Oka est inhabitée.
Conditions nuageuses Quant aux conditions insalubres, Mme Harbour affirme que quelqu’un est venu nourrir et abreuver le chat “tous les deux ou trois jours”, mais a refusé de dire de qui il s’agissait. “Je suis déçue que les gens n’aient pas pensé à changer le bac à litière”, a-t-elle déclaré. Mme Harbour a déclaré qu’elle avait l’intention de se conformer aux règlements municipaux et qu’elle sera sur le site dans les prochains jours. « Je ne mettrai plus de chats dans cette maison, oubliez ça ! il a dit. Avez-vous des informations à partager avec nous sur cette histoire ? Vous avez un scoop qui pourrait intéresser nos lecteurs ? Écrivez-nous ou appelez-nous directement au 1 800-63SCOOP.