Plus de 116 000 abonnés. Il y a quelques jours, le compte Twitter “Sardine Ruisseau” se réjouissait d’être plus suivi sur le réseau social que Sandrine Rousseau, la députée écologiste dont elle se moque. Suspendu durant l’été après des signalements de l’élue et de ses partisans, le compte parodique est de retour avec de multiples messages postés quotidiennement et 40 000 nouveaux abonnés en quelques jours.
“On peut très bien rire sans s’humilier”
De quoi susciter la colère de Sandrine Rousseau, qui s’est exprimée sur la plateforme de Quotidien, ce mercredi 31 août. “C’est du cyberharcèlement, dit-il. Ce compte parodique a été monté quand l’extrême droite a décidé de me cibler dans le débat politique. A partir du moment où ‘Sardine Ruisseau’ a tweeté, puis il y a des hordes de comptes qui lancent ce qu’on appelle des raids. Vous pouvez très bien bon de rire sans être humiliant et sans inciter les autres à faire des incursions. Et de poursuivre : “J’ai fait beaucoup de reportages. Le patron de Twitter France a même aimé un tweet de “Sardine Ruisseau” disant quelque chose sur la politique que suit Twitter. En chemin j’ai des signes de “grand soutien”. Les gens arrêtent de me répéter à quel point ma parole est précieuse pour eux. C’est vraiment incroyable de voir à quel point les choses sont différentes sur Twitter et dans la rue.”
“Une parodie sur les délires du wokisme”
Mais qui se cache derrière le surnom “Sardine Ruisseau” ? Le propriétaire du compte parodique a accordé une interview à Talker. Il dit vouloir “faire une parodie des délires du wokisme depuis un moment” quand plusieurs déclarations de Sandrine Rousseau l’ont inspiré. Cependant, “Sardine Ruisseau” nie “toute forme de cyberintimidation”. “Je me fiche de ses positions, mais ça reste une parodie et Sandrine Russo n’est pas la seule visée”, assure le propriétaire du compte Twitter. J’ai battu tout le monde. Le rapport “parodie” est présent depuis la création du compte. Je ne partage pas ses idées, elle a un côté touchant et sympathique.”
Qu’est-ce que le cyberharcèlement ?
Selon le site gouvernemental service-public, le harcèlement en ligne consiste en “la fréquence des commentaires et leur contenu offensant, obscène ou menaçant”. Un cyberespace peut être pénalisé que les échanges en question soient publics ou privés. Il s’expose, lorsque la victime est majeure, à une peine de 2 ans de prison et 30 000 euros d’amende. Il se décrit comme un “électron libre” sur le plan politique. “J’ai des idées qui couvrent tout l’échiquier politique. Cependant, la gauche s’est tellement radicalisée ces derniers temps que je suis maintenant mécaniquement plutôt à droite de l’échiquier politique.” “Sardine Ruisseau” explique aussi qu’elle ne se reconnaît pas dans le “label ‘fachosphère’ ou extrême droite”.
title: " Sardine Ruisseau Parodie De Sandrine Rousseau Ou Le Cyberharceleur Derri Re Ce Compte Twitter Controvers Klmat" ShowToc: true date: “2022-11-15” author: “Regina Londo”
Plus de 116 000 abonnés. Il y a quelques jours, le compte Twitter “Sardine Ruisseau” se réjouissait d’être plus suivi sur le réseau social que Sandrine Rousseau, la députée écologiste dont elle se moque. Suspendu durant l’été après des signalements de l’élue et de ses partisans, le compte parodique est de retour avec de multiples messages postés quotidiennement et 40 000 nouveaux abonnés en quelques jours.
“On peut très bien rire sans s’humilier”
De quoi susciter la colère de Sandrine Rousseau, qui s’est exprimée sur la plateforme de Quotidien, ce mercredi 31 août. “C’est du cyberharcèlement, dit-il. Ce compte parodique a été monté quand l’extrême droite a décidé de me cibler dans le débat politique. A partir du moment où ‘Sardine Ruisseau’ a tweeté, puis il y a des hordes de comptes qui lancent ce qu’on appelle des raids. Vous pouvez très bien bon de rire sans être humiliant et sans inciter les autres à faire des incursions. Et de poursuivre : “J’ai fait beaucoup de reportages. Le patron de Twitter France a même aimé un tweet de “Sardine Ruisseau” disant quelque chose sur la politique que suit Twitter. En chemin j’ai des signes de “grand soutien”. Les gens arrêtent de me répéter à quel point ma parole est précieuse pour eux. C’est vraiment incroyable de voir à quel point les choses sont différentes sur Twitter et dans la rue.”
“Une parodie sur les délires du wokisme”
Mais qui se cache derrière le surnom “Sardine Ruisseau” ? Le propriétaire du compte parodique a accordé une interview à Talker. Il dit vouloir “faire une parodie des délires du wokisme depuis un moment” quand plusieurs déclarations de Sandrine Rousseau l’ont inspiré. Cependant, “Sardine Ruisseau” nie “toute forme de cyberintimidation”. “Je me fiche de ses positions, mais ça reste une parodie et Sandrine Russo n’est pas la seule visée”, assure le propriétaire du compte Twitter. J’ai battu tout le monde. Le rapport “parodie” est présent depuis la création du compte. Je ne partage pas ses idées, elle a un côté touchant et sympathique.”
Qu’est-ce que le cyberharcèlement ?
Selon le site gouvernemental service-public, le harcèlement en ligne consiste en “la fréquence des commentaires et leur contenu offensant, obscène ou menaçant”. Un cyberespace peut être pénalisé que les échanges en question soient publics ou privés. Il s’expose, lorsque la victime est majeure, à une peine de 2 ans de prison et 30 000 euros d’amende. Il se décrit comme un “électron libre” sur le plan politique. “J’ai des idées qui couvrent tout l’échiquier politique. Cependant, la gauche s’est tellement radicalisée ces derniers temps que je suis maintenant mécaniquement plutôt à droite de l’échiquier politique.” “Sardine Ruisseau” explique aussi qu’elle ne se reconnaît pas dans le “label ‘fachosphère’ ou extrême droite”.
title: " Sardine Ruisseau Parodie De Sandrine Rousseau Ou Le Cyberharceleur Derri Re Ce Compte Twitter Controvers Klmat" ShowToc: true date: “2022-11-07” author: “Todd Ross”
Plus de 116 000 abonnés. Il y a quelques jours, le compte Twitter “Sardine Ruisseau” se réjouissait d’être plus suivi sur le réseau social que Sandrine Rousseau, la députée écologiste dont elle se moque. Suspendu durant l’été après des signalements de l’élue et de ses partisans, le compte parodique est de retour avec de multiples messages postés quotidiennement et 40 000 nouveaux abonnés en quelques jours.
“On peut très bien rire sans s’humilier”
De quoi susciter la colère de Sandrine Rousseau, qui s’est exprimée sur la plateforme de Quotidien, ce mercredi 31 août. “C’est du cyberharcèlement, dit-il. Ce compte parodique a été monté quand l’extrême droite a décidé de me cibler dans le débat politique. A partir du moment où ‘Sardine Ruisseau’ a tweeté, puis il y a des hordes de comptes qui lancent ce qu’on appelle des raids. Vous pouvez très bien bon de rire sans être humiliant et sans inciter les autres à faire des incursions. Et de poursuivre : “J’ai fait beaucoup de reportages. Le patron de Twitter France a même aimé un tweet de “Sardine Ruisseau” disant quelque chose sur la politique que suit Twitter. En chemin j’ai des signes de “grand soutien”. Les gens arrêtent de me répéter à quel point ma parole est précieuse pour eux. C’est vraiment incroyable de voir à quel point les choses sont différentes sur Twitter et dans la rue.”
“Une parodie sur les délires du wokisme”
Mais qui se cache derrière le surnom “Sardine Ruisseau” ? Le propriétaire du compte parodique a accordé une interview à Talker. Il dit vouloir “faire une parodie des délires du wokisme depuis un moment” quand plusieurs déclarations de Sandrine Rousseau l’ont inspiré. Cependant, “Sardine Ruisseau” nie “toute forme de cyberintimidation”. “Je me fiche de ses positions, mais ça reste une parodie et Sandrine Russo n’est pas la seule visée”, assure le propriétaire du compte Twitter. J’ai battu tout le monde. Le rapport “parodie” est présent depuis la création du compte. Je ne partage pas ses idées, elle a un côté touchant et sympathique.”
Qu’est-ce que le cyberharcèlement ?
Selon le site gouvernemental service-public, le harcèlement en ligne consiste en “la fréquence des commentaires et leur contenu offensant, obscène ou menaçant”. Un cyberespace peut être pénalisé que les échanges en question soient publics ou privés. Il s’expose, lorsque la victime est majeure, à une peine de 2 ans de prison et 30 000 euros d’amende. Il se décrit comme un “électron libre” sur le plan politique. “J’ai des idées qui couvrent tout l’échiquier politique. Cependant, la gauche s’est tellement radicalisée ces derniers temps que je suis maintenant mécaniquement plutôt à droite de l’échiquier politique.” “Sardine Ruisseau” explique aussi qu’elle ne se reconnaît pas dans le “label ‘fachosphère’ ou extrême droite”.
title: " Sardine Ruisseau Parodie De Sandrine Rousseau Ou Le Cyberharceleur Derri Re Ce Compte Twitter Controvers Klmat" ShowToc: true date: “2022-12-03” author: “Carlos Hall”
Plus de 116 000 abonnés. Il y a quelques jours, le compte Twitter “Sardine Ruisseau” se réjouissait d’être plus suivi sur le réseau social que Sandrine Rousseau, la députée écologiste dont elle se moque. Suspendu durant l’été après des signalements de l’élue et de ses partisans, le compte parodique est de retour avec de multiples messages postés quotidiennement et 40 000 nouveaux abonnés en quelques jours.
“On peut très bien rire sans s’humilier”
De quoi susciter la colère de Sandrine Rousseau, qui s’est exprimée sur la plateforme de Quotidien, ce mercredi 31 août. “C’est du cyberharcèlement, dit-il. Ce compte parodique a été monté quand l’extrême droite a décidé de me cibler dans le débat politique. A partir du moment où ‘Sardine Ruisseau’ a tweeté, puis il y a des hordes de comptes qui lancent ce qu’on appelle des raids. Vous pouvez très bien bon de rire sans être humiliant et sans inciter les autres à faire des incursions. Et de poursuivre : “J’ai fait beaucoup de reportages. Le patron de Twitter France a même aimé un tweet de “Sardine Ruisseau” disant quelque chose sur la politique que suit Twitter. En chemin j’ai des signes de “grand soutien”. Les gens arrêtent de me répéter à quel point ma parole est précieuse pour eux. C’est vraiment incroyable de voir à quel point les choses sont différentes sur Twitter et dans la rue.”
“Une parodie sur les délires du wokisme”
Mais qui se cache derrière le surnom “Sardine Ruisseau” ? Le propriétaire du compte parodique a accordé une interview à Talker. Il dit vouloir “faire une parodie des délires du wokisme depuis un moment” quand plusieurs déclarations de Sandrine Rousseau l’ont inspiré. Cependant, “Sardine Ruisseau” nie “toute forme de cyberintimidation”. “Je me fiche de ses positions, mais ça reste une parodie et Sandrine Russo n’est pas la seule visée”, assure le propriétaire du compte Twitter. J’ai battu tout le monde. Le rapport “parodie” est présent depuis la création du compte. Je ne partage pas ses idées, elle a un côté touchant et sympathique.”
Qu’est-ce que le cyberharcèlement ?
Selon le site gouvernemental service-public, le harcèlement en ligne consiste en “la fréquence des commentaires et leur contenu offensant, obscène ou menaçant”. Un cyberespace peut être pénalisé que les échanges en question soient publics ou privés. Il s’expose, lorsque la victime est majeure, à une peine de 2 ans de prison et 30 000 euros d’amende. Il se décrit comme un “électron libre” sur le plan politique. “J’ai des idées qui couvrent tout l’échiquier politique. Cependant, la gauche s’est tellement radicalisée ces derniers temps que je suis maintenant mécaniquement plutôt à droite de l’échiquier politique.” “Sardine Ruisseau” explique aussi qu’elle ne se reconnaît pas dans le “label ‘fachosphère’ ou extrême droite”.