Avertissement : l’histoire suivante contient des actes de violence et peut blesser les sentiments du lecteur. C’est un appel à l’aide lancé par Yvan Bourdin sur les réseaux sociaux. Ce père de famille originaire de Besançon a livré un témoignage glaçant dans un post Instagram partagé par le compte Noustoutes25. Il raconte comment sa fille de 21 ans a mis fin à ses jours après avoir été droguée et violée à plusieurs reprises dans son appartement de Beaune, en Côte d’Or. Il appelle désormais les autorités à réagir. « Le 10 février 2022, notre fille Bisontine Océane a été droguée et violée à plusieurs reprises dans son appartement de Beaune par un camarade de classe qui le prenait pour son ami et confident. Il s’est réveillé deux fois en quelques minutes dans la nuit, les bras et les jambes paralysés, suppliant d’arrêter, mais il a continué sans pitié », a-t-elle déclaré. Après l’horreur des événements, Yvan Bourdin raconte alors le retour de sa fille blessée. Psychologue au quotidien, tentatives de suicide, urgences psychiatriques urgentes, incarcération, le récit d’une “longue descente aux enfers”.

“Je suis mort le 10 février”

“Nous lui avons dit d’aller porter plainte immédiatement. Elle nous a dit qu’elle était morte à l’intérieur et qu’elle se suiciderait si elle racontait ce qui lui était arrivé”, explique le père à nos confrères de France 3 Bourgogne. -Franche-Comté. Pourtant, trois mois après les faits, en mai 2022 la jeune femme “trouve le courage d’aller porter plainte au commissariat de Besançon”. Après avoir prélevé un échantillon de cheveux pour détecter l’éventuelle présence de drogue, la jeune femme retombe dans une profonde dépression. Début juin, Océane se suicide. “Je suis morte depuis le 10 février, tu n’as rien pu faire pour moi”, explique la jeune femme dans un mot qu’elle a laissé à sa famille. Désormais, son père exige que justice soit faite. Face à une enquête “très lente”, il appelle les autorités à réagir. “J’étais persuadé qu’avec son suicide l’affaire allait être accélérée, mais c’est le contraire, on nous dit qu’il y a encore plus de chances que cette affaire soit classée sans suite… Pire encore, l’officier a appelé le labo (NDLR : pour accélérer les tests capillaires), on l’a envoyé à genoux, on lui a dit qu’il n’y avait pas plus urgent que d’autres », déplore Yvan Bourdin. “Ma fille m’a donné le nom, le prénom et le numéro de téléphone de son violeur. Il (le policier) était content de me dire qu’ils avaient localisé son lieu de travail et son lieu de résidence à Paris”, ajoute-t-elle.

“Pas d’appel téléphonique, pas de nouvelles, silence”

« Bien sûr nous vous prévenons de garder votre sang-froid, car en France, faire justice seul est contre vous, que s’il lui arrive quoi que ce soit, je serai le premier suspect. Cela va faire trois mois que ma fille est enterrée au cimetière de Besançon. Pas d’appel, pas de nouvelles, silence”, conclut-il. Les parents d’Océane ont révélé à nos confrères de France 3 que la jeune femme avait déjà subi deux agressions avant ce drame, une en 2018 lors d’une fête du Nouvel An et une au bar où elle travaillait à Beaune où elle aurait été abusée par son patron. . Or, selon France 3, le parquet de Besançon aurait assuré la transmission très rapide du dossier au parquet de Dijon en raison de la localisation des faits en Côte d’Or, où l’audition de l’accusé fallait s’organiser. se produit. “Le rapport de toxicologie ne fait état d’aucune soumission chimique en tant que telle”, a également précisé le procureur de Besançon Etienne Mandeau.


title: " Tu N As Rien Pu Faire Pour Moi Drogu E Et Viol E Plusieurs Fois Oc Ane 21 Ans A Mis Fin Ses Jours Klmat" ShowToc: true date: “2022-12-08” author: “Allan Moore”


Avertissement : l’histoire suivante contient des actes de violence et peut blesser les sentiments du lecteur. C’est un appel à l’aide lancé par Yvan Bourdin sur les réseaux sociaux. Ce père de famille originaire de Besançon a livré un témoignage glaçant dans un post Instagram partagé par le compte Noustoutes25. Il raconte comment sa fille de 21 ans a mis fin à ses jours après avoir été droguée et violée à plusieurs reprises dans son appartement de Beaune, en Côte d’Or. Il appelle désormais les autorités à réagir. « Le 10 février 2022, notre fille Bisontine Océane a été droguée et violée à plusieurs reprises dans son appartement de Beaune par un camarade de classe qui le prenait pour son ami et confident. Il s’est réveillé deux fois en quelques minutes dans la nuit, les bras et les jambes paralysés, suppliant d’arrêter, mais il a continué sans pitié », a-t-elle déclaré. Après l’horreur des événements, Yvan Bourdin raconte alors le retour de sa fille blessée. Psychologue au quotidien, tentatives de suicide, urgences psychiatriques urgentes, incarcération, le récit d’une “longue descente aux enfers”.

“Je suis mort le 10 février”

“Nous lui avons dit d’aller porter plainte immédiatement. Elle nous a dit qu’elle était morte à l’intérieur et qu’elle se suiciderait si elle racontait ce qui lui était arrivé”, explique le père à nos confrères de France 3 Bourgogne. -Franche-Comté. Pourtant, trois mois après les faits, en mai 2022 la jeune femme “trouve le courage d’aller porter plainte au commissariat de Besançon”. Après avoir prélevé un échantillon de cheveux pour détecter l’éventuelle présence de drogue, la jeune femme retombe dans une profonde dépression. Début juin, Océane se suicide. “Je suis morte depuis le 10 février, tu n’as rien pu faire pour moi”, explique la jeune femme dans un mot qu’elle a laissé à sa famille. Désormais, son père exige que justice soit faite. Face à une enquête “très lente”, il appelle les autorités à réagir. “J’étais persuadé qu’avec son suicide l’affaire allait être accélérée, mais c’est le contraire, on nous dit qu’il y a encore plus de chances que cette affaire soit classée sans suite… Pire encore, l’officier a appelé le labo (NDLR : pour accélérer les tests capillaires), on l’a envoyé à genoux, on lui a dit qu’il n’y avait pas plus urgent que d’autres », déplore Yvan Bourdin. “Ma fille m’a donné le nom, le prénom et le numéro de téléphone de son violeur. Il (le policier) était content de me dire qu’ils avaient localisé son lieu de travail et son lieu de résidence à Paris”, ajoute-t-elle.

“Pas d’appel téléphonique, pas de nouvelles, silence”

« Bien sûr nous vous prévenons de garder votre sang-froid, car en France, faire justice seul est contre vous, que s’il lui arrive quoi que ce soit, je serai le premier suspect. Cela va faire trois mois que ma fille est enterrée au cimetière de Besançon. Pas d’appel, pas de nouvelles, silence”, conclut-il. Les parents d’Océane ont révélé à nos confrères de France 3 que la jeune femme avait déjà subi deux agressions avant ce drame, une en 2018 lors d’une fête du Nouvel An et une au bar où elle travaillait à Beaune où elle aurait été abusée par son patron. . Or, selon France 3, le parquet de Besançon aurait assuré la transmission très rapide du dossier au parquet de Dijon en raison de la localisation des faits en Côte d’Or, où l’audition de l’accusé fallait s’organiser. se produit. “Le rapport de toxicologie ne fait état d’aucune soumission chimique en tant que telle”, a également précisé le procureur de Besançon Etienne Mandeau.


title: " Tu N As Rien Pu Faire Pour Moi Drogu E Et Viol E Plusieurs Fois Oc Ane 21 Ans A Mis Fin Ses Jours Klmat" ShowToc: true date: “2022-11-18” author: “Ramiro Julca”


Avertissement : l’histoire suivante contient des actes de violence et peut blesser les sentiments du lecteur. C’est un appel à l’aide lancé par Yvan Bourdin sur les réseaux sociaux. Ce père de famille originaire de Besançon a livré un témoignage glaçant dans un post Instagram partagé par le compte Noustoutes25. Il raconte comment sa fille de 21 ans a mis fin à ses jours après avoir été droguée et violée à plusieurs reprises dans son appartement de Beaune, en Côte d’Or. Il appelle désormais les autorités à réagir. « Le 10 février 2022, notre fille Bisontine Océane a été droguée et violée à plusieurs reprises dans son appartement de Beaune par un camarade de classe qui le prenait pour son ami et confident. Il s’est réveillé deux fois en quelques minutes dans la nuit, les bras et les jambes paralysés, suppliant d’arrêter, mais il a continué sans pitié », a-t-elle déclaré. Après l’horreur des événements, Yvan Bourdin raconte alors le retour de sa fille blessée. Psychologue au quotidien, tentatives de suicide, urgences psychiatriques urgentes, incarcération, le récit d’une “longue descente aux enfers”.

“Je suis mort le 10 février”

“Nous lui avons dit d’aller porter plainte immédiatement. Elle nous a dit qu’elle était morte à l’intérieur et qu’elle se suiciderait si elle racontait ce qui lui était arrivé”, explique le père à nos confrères de France 3 Bourgogne. -Franche-Comté. Pourtant, trois mois après les faits, en mai 2022 la jeune femme “trouve le courage d’aller porter plainte au commissariat de Besançon”. Après avoir prélevé un échantillon de cheveux pour détecter l’éventuelle présence de drogue, la jeune femme retombe dans une profonde dépression. Début juin, Océane se suicide. “Je suis morte depuis le 10 février, tu n’as rien pu faire pour moi”, explique la jeune femme dans un mot qu’elle a laissé à sa famille. Désormais, son père exige que justice soit faite. Face à une enquête “très lente”, il appelle les autorités à réagir. “J’étais persuadé qu’avec son suicide l’affaire allait être accélérée, mais c’est le contraire, on nous dit qu’il y a encore plus de chances que cette affaire soit classée sans suite… Pire encore, l’officier a appelé le labo (NDLR : pour accélérer les tests capillaires), on l’a envoyé à genoux, on lui a dit qu’il n’y avait pas plus urgent que d’autres », déplore Yvan Bourdin. “Ma fille m’a donné le nom, le prénom et le numéro de téléphone de son violeur. Il (le policier) était content de me dire qu’ils avaient localisé son lieu de travail et son lieu de résidence à Paris”, ajoute-t-elle.

“Pas d’appel téléphonique, pas de nouvelles, silence”

« Bien sûr nous vous prévenons de garder votre sang-froid, car en France, faire justice seul est contre vous, que s’il lui arrive quoi que ce soit, je serai le premier suspect. Cela va faire trois mois que ma fille est enterrée au cimetière de Besançon. Pas d’appel, pas de nouvelles, silence”, conclut-il. Les parents d’Océane ont révélé à nos confrères de France 3 que la jeune femme avait déjà subi deux agressions avant ce drame, une en 2018 lors d’une fête du Nouvel An et une au bar où elle travaillait à Beaune où elle aurait été abusée par son patron. . Or, selon France 3, le parquet de Besançon aurait assuré la transmission très rapide du dossier au parquet de Dijon en raison de la localisation des faits en Côte d’Or, où l’audition de l’accusé fallait s’organiser. se produit. “Le rapport de toxicologie ne fait état d’aucune soumission chimique en tant que telle”, a également précisé le procureur de Besançon Etienne Mandeau.


title: " Tu N As Rien Pu Faire Pour Moi Drogu E Et Viol E Plusieurs Fois Oc Ane 21 Ans A Mis Fin Ses Jours Klmat" ShowToc: true date: “2022-11-13” author: “Scott Earl”


Avertissement : l’histoire suivante contient des actes de violence et peut blesser les sentiments du lecteur. C’est un appel à l’aide lancé par Yvan Bourdin sur les réseaux sociaux. Ce père de famille originaire de Besançon a livré un témoignage glaçant dans un post Instagram partagé par le compte Noustoutes25. Il raconte comment sa fille de 21 ans a mis fin à ses jours après avoir été droguée et violée à plusieurs reprises dans son appartement de Beaune, en Côte d’Or. Il appelle désormais les autorités à réagir. « Le 10 février 2022, notre fille Bisontine Océane a été droguée et violée à plusieurs reprises dans son appartement de Beaune par un camarade de classe qui le prenait pour son ami et confident. Il s’est réveillé deux fois en quelques minutes dans la nuit, les bras et les jambes paralysés, suppliant d’arrêter, mais il a continué sans pitié », a-t-elle déclaré. Après l’horreur des événements, Yvan Bourdin raconte alors le retour de sa fille blessée. Psychologue au quotidien, tentatives de suicide, urgences psychiatriques urgentes, incarcération, le récit d’une “longue descente aux enfers”.

“Je suis mort le 10 février”

“Nous lui avons dit d’aller porter plainte immédiatement. Elle nous a dit qu’elle était morte à l’intérieur et qu’elle se suiciderait si elle racontait ce qui lui était arrivé”, explique le père à nos confrères de France 3 Bourgogne. -Franche-Comté. Pourtant, trois mois après les faits, en mai 2022 la jeune femme “trouve le courage d’aller porter plainte au commissariat de Besançon”. Après avoir prélevé un échantillon de cheveux pour détecter l’éventuelle présence de drogue, la jeune femme retombe dans une profonde dépression. Début juin, Océane se suicide. “Je suis morte depuis le 10 février, tu n’as rien pu faire pour moi”, explique la jeune femme dans un mot qu’elle a laissé à sa famille. Désormais, son père exige que justice soit faite. Face à une enquête “très lente”, il appelle les autorités à réagir. “J’étais persuadé qu’avec son suicide l’affaire allait être accélérée, mais c’est le contraire, on nous dit qu’il y a encore plus de chances que cette affaire soit classée sans suite… Pire encore, l’officier a appelé le labo (NDLR : pour accélérer les tests capillaires), on l’a envoyé à genoux, on lui a dit qu’il n’y avait pas plus urgent que d’autres », déplore Yvan Bourdin. “Ma fille m’a donné le nom, le prénom et le numéro de téléphone de son violeur. Il (le policier) était content de me dire qu’ils avaient localisé son lieu de travail et son lieu de résidence à Paris”, ajoute-t-elle.

“Pas d’appel téléphonique, pas de nouvelles, silence”

« Bien sûr nous vous prévenons de garder votre sang-froid, car en France, faire justice seul est contre vous, que s’il lui arrive quoi que ce soit, je serai le premier suspect. Cela va faire trois mois que ma fille est enterrée au cimetière de Besançon. Pas d’appel, pas de nouvelles, silence”, conclut-il. Les parents d’Océane ont révélé à nos confrères de France 3 que la jeune femme avait déjà subi deux agressions avant ce drame, une en 2018 lors d’une fête du Nouvel An et une au bar où elle travaillait à Beaune où elle aurait été abusée par son patron. . Or, selon France 3, le parquet de Besançon aurait assuré la transmission très rapide du dossier au parquet de Dijon en raison de la localisation des faits en Côte d’Or, où l’audition de l’accusé fallait s’organiser. se produit. “Le rapport de toxicologie ne fait état d’aucune soumission chimique en tant que telle”, a également précisé le procureur de Besançon Etienne Mandeau.